Investing.com - Les bourses européennes restaient en nette difficulté ce mercredi après-midi, l'activité peu reluisante des prestatires de services de la Chine laissant craindre un essoufflement de la seconde économie mondiale, dans l'ombre des incertitudes concernant les injections de liquidités de la Réserve Fédérale.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 2,02%, le CAC 40 français de 1,68%, et le DAX 30 allemand de 1,64%.
L'angoisse était en effet palpable après que les autorités chinoises aient signalé à l'aube que leur indice des directeurs des achats du secteur tertiaire s'était rétracté depuis les 54,3 de mai vers 53,9.
L'atmosphère s'était aussi alourdie en raison de bruits selon lesquels d'autres membres du gouvernement du Portugal pourraient démissionner, le ministre des finances et celui des affaires étrangères ayant créé le choc en libérant leurs postes en début de semaine face à l'impopularité de ses mesures d'austérité.
Les yeux se tournaient désormais vers la série de statistiques de l'après-midi des Etats-Unis, et pour vendredi vers les chiffres de leur masse salariale, en quête d'indices sur le moment où leur banque centrale entamera la réduction de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
La finance demeurait en berne, la Deutsche Bank allemande s'écroulant de 3,15%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 3,19 et 3,48%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA sombrant de 4,35 et 3,69%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 2,70 et 3,13%.
Il était aussi à noter qu'Air France, première compagnie aérienne de la région, et Deutsche Lufthansa plongeaient de 2,36 et 3,46%, après que les cours du pétrole aient engrangé plus de 1%.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, dégringolait de 1,63%, tiré vers le bas par des exploitants et des extracteurs à la dérive, qu'il ait été souligné que l'activité dans le domaine des services britannique avait connu en juin sa plus forte accélération depuis mars 2011.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto s'enfonçaient de 2,92 et 2,48%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American partageant le même sort avec 4,63% et Polymetal aussi avec 1,50%.
La City suivait toujours quand à elle le chemin tracé sur le continent, Lloyds Banking laissant échapper 1,08%, et la Royal Bank of Scotland 2,16%, tandis que HSBC Holdings et Barclays se retrouvaient en queue de peloton avec 2,95 et 3,31%.
L'agence Standard & Poor's a quand à elle rabaissé ses appréciations à long terme pour cette dernière, ainsi que pour la Deutsche Bank et le Crédit Suisse depuis A+ vers A, affirmant que l'impact de la nouvelle règlementation et "les incertitudes pesant sur le marché financier" menaçaient leurs affaires.
Les perspectives des marchés américains partageaient le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,51%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,55% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,63%.
Les autorités européennes avaient tout de même fait savoir dans la matinée que les ventes au détail régionales avaient gonflé de 1% en mai, surpassant largement les 0,2% pressentis.
Aux Etats-Unis, l'agence de gestion des ressources humaines ADP comptait dévoiler aujourd'hui ses chiffres portant sur le volume de la masse salariale non-agricole, les autorités faisant de même avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage avec une journée d'avance, ainsi que des informations ayant trait au commerce extérieur.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 2,02%, le CAC 40 français de 1,68%, et le DAX 30 allemand de 1,64%.
L'angoisse était en effet palpable après que les autorités chinoises aient signalé à l'aube que leur indice des directeurs des achats du secteur tertiaire s'était rétracté depuis les 54,3 de mai vers 53,9.
L'atmosphère s'était aussi alourdie en raison de bruits selon lesquels d'autres membres du gouvernement du Portugal pourraient démissionner, le ministre des finances et celui des affaires étrangères ayant créé le choc en libérant leurs postes en début de semaine face à l'impopularité de ses mesures d'austérité.
Les yeux se tournaient désormais vers la série de statistiques de l'après-midi des Etats-Unis, et pour vendredi vers les chiffres de leur masse salariale, en quête d'indices sur le moment où leur banque centrale entamera la réduction de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
La finance demeurait en berne, la Deutsche Bank allemande s'écroulant de 3,15%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 3,19 et 3,48%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA sombrant de 4,35 et 3,69%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 2,70 et 3,13%.
Il était aussi à noter qu'Air France, première compagnie aérienne de la région, et Deutsche Lufthansa plongeaient de 2,36 et 3,46%, après que les cours du pétrole aient engrangé plus de 1%.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, dégringolait de 1,63%, tiré vers le bas par des exploitants et des extracteurs à la dérive, qu'il ait été souligné que l'activité dans le domaine des services britannique avait connu en juin sa plus forte accélération depuis mars 2011.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto s'enfonçaient de 2,92 et 2,48%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American partageant le même sort avec 4,63% et Polymetal aussi avec 1,50%.
La City suivait toujours quand à elle le chemin tracé sur le continent, Lloyds Banking laissant échapper 1,08%, et la Royal Bank of Scotland 2,16%, tandis que HSBC Holdings et Barclays se retrouvaient en queue de peloton avec 2,95 et 3,31%.
L'agence Standard & Poor's a quand à elle rabaissé ses appréciations à long terme pour cette dernière, ainsi que pour la Deutsche Bank et le Crédit Suisse depuis A+ vers A, affirmant que l'impact de la nouvelle règlementation et "les incertitudes pesant sur le marché financier" menaçaient leurs affaires.
Les perspectives des marchés américains partageaient le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,51%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,55% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,63%.
Les autorités européennes avaient tout de même fait savoir dans la matinée que les ventes au détail régionales avaient gonflé de 1% en mai, surpassant largement les 0,2% pressentis.
Aux Etats-Unis, l'agence de gestion des ressources humaines ADP comptait dévoiler aujourd'hui ses chiffres portant sur le volume de la masse salariale non-agricole, les autorités faisant de même avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage avec une journée d'avance, ainsi que des informations ayant trait au commerce extérieur.