Investing.com - Les options sur le brut étaient en berne ce jeudi, retombant de leur pic des huit derniers mois, le moral des investisseurs subissant un coup de moins bien à l'orée des enchères françaises planifiées pour la fin de matinée, malgré la stimulation toujours offerte par l'angoisse d'une perturbation des fournitures provenant d'Iran.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour février se sont échangés à 102.48 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0.72%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 102.39 USD, leur cours le plus bas du jour, avec 0.8% de fléchissement, après avoir culminné hier à 103.7 USD, leur meilleur niveau depuis début mai.
Les acteurs de marchés demeuraient prudents, la France devant en effet émettre en fin de matinée jusqu'à 8 milliards d'euros en bons du trésor à trente ans, alors qu'une mise aux enchères peu satisfaisante raviverait la crainte que le pays ne perde sa notation triple A dans les semaines à venir.
L'évolution de la situation régionale a dominé ces derniers mois la tonalité des échanges sur le marché pétrolier, en raison de la peur que le problème du surendettement européen ne déclenche un ralentissement économique général pouvant diminuer les besoins.
Les cours bénéficiaient encore du spectre d'éventuelles perturbations des fournitures en raison de l'augmentation des tensions entre l'Iran et l'Occident.
Un diplomatet de l'Union Européenne avait déclaré hier que les membres de cette dernière étaient d'accord sur le principe d'un embargo sur le pétrole iranien, mais que les discussions devaient encore se poursuivre concernant les détails tels que le moment et les moyens déployés pour sa mise en place.
La république islamique demeure le quatrième extracteur d'or noir du monde, avec près de 5% du pétrole mondial en 2011, et l'hypothèse d'une perturbation importante de ses livraisons a contribué à tirer les prix de ces dernières semaines vers le haut.
Les observateurs attendaient aussi de nouvelles informations hebdomadaires concernant les réserves de pétrole brut et raffiné afin de juger de la force de la demande du premier consommateur mondial.
L'inventaire du gouvernement pourrait montrer une diminution de 1.2 millions de barils des stocks d'or noir pour la semaine passée, tandis que ceux d'essence devraient en augmenter de 1 million, les informations étant révélées un jour plus tard que d'habitude en raison des fêtes du nouvel an.
Les experts de l'institut du pétrole américain ont révélé hier une baisse de 4.4 millions de barils des réserves de brut pour la semaine dernière, tandis que ceux d'essence en avaient engrangé 3.4 millions.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour février ont glissé de 0.3% pour descendre à 113.38 USD du baril dans le même temps, soit 10.98 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour février se sont échangés à 102.48 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0.72%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 102.39 USD, leur cours le plus bas du jour, avec 0.8% de fléchissement, après avoir culminné hier à 103.7 USD, leur meilleur niveau depuis début mai.
Les acteurs de marchés demeuraient prudents, la France devant en effet émettre en fin de matinée jusqu'à 8 milliards d'euros en bons du trésor à trente ans, alors qu'une mise aux enchères peu satisfaisante raviverait la crainte que le pays ne perde sa notation triple A dans les semaines à venir.
L'évolution de la situation régionale a dominé ces derniers mois la tonalité des échanges sur le marché pétrolier, en raison de la peur que le problème du surendettement européen ne déclenche un ralentissement économique général pouvant diminuer les besoins.
Les cours bénéficiaient encore du spectre d'éventuelles perturbations des fournitures en raison de l'augmentation des tensions entre l'Iran et l'Occident.
Un diplomatet de l'Union Européenne avait déclaré hier que les membres de cette dernière étaient d'accord sur le principe d'un embargo sur le pétrole iranien, mais que les discussions devaient encore se poursuivre concernant les détails tels que le moment et les moyens déployés pour sa mise en place.
La république islamique demeure le quatrième extracteur d'or noir du monde, avec près de 5% du pétrole mondial en 2011, et l'hypothèse d'une perturbation importante de ses livraisons a contribué à tirer les prix de ces dernières semaines vers le haut.
Les observateurs attendaient aussi de nouvelles informations hebdomadaires concernant les réserves de pétrole brut et raffiné afin de juger de la force de la demande du premier consommateur mondial.
L'inventaire du gouvernement pourrait montrer une diminution de 1.2 millions de barils des stocks d'or noir pour la semaine passée, tandis que ceux d'essence devraient en augmenter de 1 million, les informations étant révélées un jour plus tard que d'habitude en raison des fêtes du nouvel an.
Les experts de l'institut du pétrole américain ont révélé hier une baisse de 4.4 millions de barils des réserves de brut pour la semaine dernière, tandis que ceux d'essence en avaient engrangé 3.4 millions.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour février ont glissé de 0.3% pour descendre à 113.38 USD du baril dans le même temps, soit 10.98 USD de mieux que leurs homologues américaines.