Investing.com - Les options sur le brut étaient en retrait ce mardi matin, sur fond de renforcement du dollar U.S. et d'incertitudes concernant le calendrier des aides de la banque centrale des Etats-Unis.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour décembre se sont échangés à 94,65 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0,5%.
Ils avaient auparavant hésité dans une bande limitée entre 94,52 USD, leur cours le plus bas du jour, et 95,10 USD, leur meilleur.
La session précédente les avait vus culminer à 95,38 USD, leur plus haut niveau depuis le 6 novembre, avant de conclure à 95,14 USD, avec une avancée de 0,57%.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 93,68 USD, leur plancher déjà évoqué, et rencontrer de la résistance à court terme à 96,64 USD, leur plafond du premier novembre.
Le billet vert gardait en effet la corde grâce aux rumeurs d'un tour de vis de la part de la Réserve Fédérale dès sa prise de cap de décembre.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,35% pour se situer à 81,45.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à descendre quand ce dernier monte, les rendant plus coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Les apports de capitaux sont généralement vus comme un des facteurs cruciaux dans l'augmentation des prix des matières premières, en raison de leur tendance à affaiblir la devise américaine.
L'attention était désormais concentrée sur les conclusions imminentes des quatre jours de congrès crucial du parti communiste de la Chine, avec l'espoir que la nouvelle équipe dirigeante dévoile des réformes économiques.
Sa voracité pétrolière n'est seconde que derrière celle des Etats-Unis, et reste la principale responsable de l'augmentation de la demande.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour décembre ont laissé échapper 0,35% pour glisser à 106,02 USD du baril dans le même temps, soit 11,37 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Leurs prix, établis à Londres, avaient bondi de 1,2% hier après que les négociations à Genève entre six grandes puissances mondiales et l'Iran se soient soldées sans qu'un accord pouvant aboutir à un assouplissement des sanctions touchant les exportations d'or noir de ce dernier soit trouvé.
Celles-ci, en réactions aux allégations selon lesquelles Téhéran chercherait à développer l'arme nucléaire, ont contribué au retrait de plus d'un million de barils quotidien du marché.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour décembre se sont échangés à 94,65 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0,5%.
Ils avaient auparavant hésité dans une bande limitée entre 94,52 USD, leur cours le plus bas du jour, et 95,10 USD, leur meilleur.
La session précédente les avait vus culminer à 95,38 USD, leur plus haut niveau depuis le 6 novembre, avant de conclure à 95,14 USD, avec une avancée de 0,57%.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 93,68 USD, leur plancher déjà évoqué, et rencontrer de la résistance à court terme à 96,64 USD, leur plafond du premier novembre.
Le billet vert gardait en effet la corde grâce aux rumeurs d'un tour de vis de la part de la Réserve Fédérale dès sa prise de cap de décembre.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,35% pour se situer à 81,45.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à descendre quand ce dernier monte, les rendant plus coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Les apports de capitaux sont généralement vus comme un des facteurs cruciaux dans l'augmentation des prix des matières premières, en raison de leur tendance à affaiblir la devise américaine.
L'attention était désormais concentrée sur les conclusions imminentes des quatre jours de congrès crucial du parti communiste de la Chine, avec l'espoir que la nouvelle équipe dirigeante dévoile des réformes économiques.
Sa voracité pétrolière n'est seconde que derrière celle des Etats-Unis, et reste la principale responsable de l'augmentation de la demande.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour décembre ont laissé échapper 0,35% pour glisser à 106,02 USD du baril dans le même temps, soit 11,37 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Leurs prix, établis à Londres, avaient bondi de 1,2% hier après que les négociations à Genève entre six grandes puissances mondiales et l'Iran se soient soldées sans qu'un accord pouvant aboutir à un assouplissement des sanctions touchant les exportations d'or noir de ce dernier soit trouvé.
Celles-ci, en réactions aux allégations selon lesquelles Téhéran chercherait à développer l'arme nucléaire, ont contribué au retrait de plus d'un million de barils quotidien du marché.