La tendance favorable des marchés européens s'affirme, sur fond de données encourageantes parues en début d'après-midi aux Etats-Unis, et ce malgré des propos de Janet Yellen qui confortent la perspective d'une hausse de taux de la Fed avant la fin de l'année.
Londres reste stable, mais Paris, Francfort et Zurich gagnent 0,3%, Lisbonne 0,4%, Amsterdam 0,6%, Madrid 0,7%, Bruxelles 0,9% et Milan 1,1%. A New York, le Dow Jones grignote 0,1% et le Nasdaq 0,2%.
S'il prévient que le dossier grec reviendra au centre de l'actualité à moyen terme, Barclays (LONDON:BARC) Bourse souligne que 'l'accord (enfin) trouvé entre la Grèce et ses créanciers permet aux investisseurs de ne plus uniquement se focaliser sur ce sujet à court terme'.
'Dans l'immédiat, la pression exercée par le maintien de la fermeture des banques en Grèce devrait permettre au Parlement de valider le projet de loi sur les premières réformes réclamées par les partenaires européens (vote prévu ce soir)', juge la société de gestion.
Barclays Bourse maintient donc son biais positifs à horizon fin d'année sur les indices actions européens et estime que 'la levée de l'incertitude à court terme (politique grecque) pourrait permettre au secteur bancaire de performer'.
Pour l'heure, les opérateurs peuvent se concentrer sur une nouvelle série de statistiques aux Etats-Unis, avec notamment un retour de l'indice Empire State en zone positive, à +3,9, et une hausse de 0,3% de la production industrielle en juin (contre +0,2% attendu).
Les marchés profitent de ces chiffres, bien que Janet Yellen ait confirmé, devant des parlementaires américains, son souhait de voir la Fed remonter ses taux directeurs cette année, au vu de la situation économique des Etats-Unis.
De ce côté de l'Atlantique, le Royaume Uni a enregistré une hausse séquentielle du nombre d'inscrits aux allocations chômage au mois de juin, de 7.000 à 804.200, soit la première augmentation depuis octobre 2012.
Sur le plan des valeurs, l'action Burberry corrige de 2,3% à Londres, sanctionnée à la suite des ventes trimestrielles du groupe de vêtement haut de gamme, ventes dont le rythme de croissance a sensiblement décéléré.
Anglo American (LONDON:AAL) grappille 0,4%, soutenu par Credit Suisse qui relève son opinion de 'neutre' à 'surperformance', mettant en avant la valeur sous-jacente des actifs de la compagnie minière sud-africaine.
BHP Billiton cède 0,2%, alors que le groupe anglo-australien va inscrire une provision de 2,8 milliards de dollars dans ses comptes 2015, à cause d'une minoration de ses actifs dans le gaz de schiste onshore aux Etats-Unis.
ASML Holding (AMS:ASML) s'adjuge 4,2% et figure en tête à Amsterdam : l'équipementier pour l'industrie des semi-conducteurs a sensiblement étoffé son carnet de commandes sur le trimestre écoulé, ce qui lui permet de se montrer plutôt optimiste quant au second semestre.
EDF (PARIS:EDF) s'octroie une progression de 3,2% et signe ainsi la plus forte progression du CAC40 parisien, après la parution dans la journée du rapport de la CRE consacré aux tarifs réglementés de la vente d'électricité en France.
Copyright (c) 2015 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
Londres reste stable, mais Paris, Francfort et Zurich gagnent 0,3%, Lisbonne 0,4%, Amsterdam 0,6%, Madrid 0,7%, Bruxelles 0,9% et Milan 1,1%. A New York, le Dow Jones grignote 0,1% et le Nasdaq 0,2%.
S'il prévient que le dossier grec reviendra au centre de l'actualité à moyen terme, Barclays (LONDON:BARC) Bourse souligne que 'l'accord (enfin) trouvé entre la Grèce et ses créanciers permet aux investisseurs de ne plus uniquement se focaliser sur ce sujet à court terme'.
'Dans l'immédiat, la pression exercée par le maintien de la fermeture des banques en Grèce devrait permettre au Parlement de valider le projet de loi sur les premières réformes réclamées par les partenaires européens (vote prévu ce soir)', juge la société de gestion.
Barclays Bourse maintient donc son biais positifs à horizon fin d'année sur les indices actions européens et estime que 'la levée de l'incertitude à court terme (politique grecque) pourrait permettre au secteur bancaire de performer'.
Pour l'heure, les opérateurs peuvent se concentrer sur une nouvelle série de statistiques aux Etats-Unis, avec notamment un retour de l'indice Empire State en zone positive, à +3,9, et une hausse de 0,3% de la production industrielle en juin (contre +0,2% attendu).
Les marchés profitent de ces chiffres, bien que Janet Yellen ait confirmé, devant des parlementaires américains, son souhait de voir la Fed remonter ses taux directeurs cette année, au vu de la situation économique des Etats-Unis.
De ce côté de l'Atlantique, le Royaume Uni a enregistré une hausse séquentielle du nombre d'inscrits aux allocations chômage au mois de juin, de 7.000 à 804.200, soit la première augmentation depuis octobre 2012.
Sur le plan des valeurs, l'action Burberry corrige de 2,3% à Londres, sanctionnée à la suite des ventes trimestrielles du groupe de vêtement haut de gamme, ventes dont le rythme de croissance a sensiblement décéléré.
Anglo American (LONDON:AAL) grappille 0,4%, soutenu par Credit Suisse qui relève son opinion de 'neutre' à 'surperformance', mettant en avant la valeur sous-jacente des actifs de la compagnie minière sud-africaine.
BHP Billiton cède 0,2%, alors que le groupe anglo-australien va inscrire une provision de 2,8 milliards de dollars dans ses comptes 2015, à cause d'une minoration de ses actifs dans le gaz de schiste onshore aux Etats-Unis.
ASML Holding (AMS:ASML) s'adjuge 4,2% et figure en tête à Amsterdam : l'équipementier pour l'industrie des semi-conducteurs a sensiblement étoffé son carnet de commandes sur le trimestre écoulé, ce qui lui permet de se montrer plutôt optimiste quant au second semestre.
EDF (PARIS:EDF) s'octroie une progression de 3,2% et signe ainsi la plus forte progression du CAC40 parisien, après la parution dans la journée du rapport de la CRE consacré aux tarifs réglementés de la vente d'électricité en France.
Copyright (c) 2015 CercleFinance.com. Tous droits réservés.