Un recul écologique ou une preuve de pragmatisme ? Nicolas Hulot a choisi. Il ne sera pas possible de tenir l'engagement pris en 2015 de ramener la part du nucléaire à 50 % de la production électrique en 2025, tout du moins sans doubler les émissions de CO2. En se basant sur un rapport du gestionnaire du réseau de transport d'électricité RTE, le ministre de la transition écologique revoit les ambitions gouvernementales. Il va se donner une année de plus pour planifier le scénario de cette baisse…