Investing.com - La Bourse de Paris cédait du terrain mercredi, affichant un recul de 0,82% à mi-séance, alors que les inquiétudes au sujet de l’abandon des mesures d’austérité grecques par le nouveau leadership politique local faisaient à nouveau peser des doutes quant à l’avenir du pays au sein de la zone euro.
Les marchés étaient dominés par la crise politique en Grèce, où aucune coalition ne semblait se dégager pour gouverner le pays trois jours après les élections.
Les tensions en Grèce sont intervenues alors que le débat entre croissance et austérité a pris le devant de la scène en Europe. Les dirigeants européens ont décidé, par ailleurs, de se réunir le 23 mai à ce sujet.
La volonté du nouveau président français, François Hollande, de renégocier le pacte budgétaire européen, pour y intégrer un volet croissance, faisait également craindre une rupture dans l’alliance franco-allemande et, par la même, une fragilisation encore plus profonde du bloc euro.
Les valeurs financières étaient les premières affectées par le climat d’inquiétude en Europe. A mi-séance, BNP Paribas perdait 2,01%, Crédit Agricole 2,19% et Société Générale 1,17%.
Le secteur était également marqué par les résultats décevants de Dexia, qui a cédé pour 3 milliards d'euros d'actifs au cours des quatre premiers mois de l'année et accusé un déficit net de 431 millions d'euros au premier trimestre.
Commerzbank, deuxième banque allemande, a aussi enregistré une chute de 62,5 % de son bénéfice net et prévenu que la crise de la dette souveraine dans la zone euro continuera à peser sur les performances de 2012.
Par ailleurs, Saint-Gobain se repliait de 1,25% alors que le groupe vient de signer pour porter à 100 % sa participation dans le capital de SAGE Electrochromics, un fabricant américain de verre actif à variation électronique de teinte.
Lafarge cédait également 0,17% alors que son concurrent, le suisse Holcim, a vu ses résultats souffrir du froid hivernal, lequel s'est traduit par l'arrêt de nombreux chantiers en Europe occidentale et orientale en février.
Enfin, Air Liquide perdait 0,20% alors que Standard & Poor's a annoncé mardi avoir relevé la perspective de la note du spécialiste français des gaz industriels de stable à positive.
A l’inverse, EADS s’appréciait de 0,12%. Selon Les Echos, Louis Gallois, le président exécutif du groupe de défense et d'aéronautique, va succéder à Denis Ranque au conseil d'administration du Fonds stratégique d'investissement.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 reculait de 0,74%, le DAX cédait 0,07% et le Footsie 100 se repliait de 0,63%.
Un seul indicateur figurait à l'agenda, côté américain, à savoir : les stocks des grossistes américains en mars.
Les marchés étaient dominés par la crise politique en Grèce, où aucune coalition ne semblait se dégager pour gouverner le pays trois jours après les élections.
Les tensions en Grèce sont intervenues alors que le débat entre croissance et austérité a pris le devant de la scène en Europe. Les dirigeants européens ont décidé, par ailleurs, de se réunir le 23 mai à ce sujet.
La volonté du nouveau président français, François Hollande, de renégocier le pacte budgétaire européen, pour y intégrer un volet croissance, faisait également craindre une rupture dans l’alliance franco-allemande et, par la même, une fragilisation encore plus profonde du bloc euro.
Les valeurs financières étaient les premières affectées par le climat d’inquiétude en Europe. A mi-séance, BNP Paribas perdait 2,01%, Crédit Agricole 2,19% et Société Générale 1,17%.
Le secteur était également marqué par les résultats décevants de Dexia, qui a cédé pour 3 milliards d'euros d'actifs au cours des quatre premiers mois de l'année et accusé un déficit net de 431 millions d'euros au premier trimestre.
Commerzbank, deuxième banque allemande, a aussi enregistré une chute de 62,5 % de son bénéfice net et prévenu que la crise de la dette souveraine dans la zone euro continuera à peser sur les performances de 2012.
Par ailleurs, Saint-Gobain se repliait de 1,25% alors que le groupe vient de signer pour porter à 100 % sa participation dans le capital de SAGE Electrochromics, un fabricant américain de verre actif à variation électronique de teinte.
Lafarge cédait également 0,17% alors que son concurrent, le suisse Holcim, a vu ses résultats souffrir du froid hivernal, lequel s'est traduit par l'arrêt de nombreux chantiers en Europe occidentale et orientale en février.
Enfin, Air Liquide perdait 0,20% alors que Standard & Poor's a annoncé mardi avoir relevé la perspective de la note du spécialiste français des gaz industriels de stable à positive.
A l’inverse, EADS s’appréciait de 0,12%. Selon Les Echos, Louis Gallois, le président exécutif du groupe de défense et d'aéronautique, va succéder à Denis Ranque au conseil d'administration du Fonds stratégique d'investissement.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 reculait de 0,74%, le DAX cédait 0,07% et le Footsie 100 se repliait de 0,63%.
Un seul indicateur figurait à l'agenda, côté américain, à savoir : les stocks des grossistes américains en mars.