Investing.com - Les bourses européennes étaient en berne ce lundi, alors que les craintes liées à la crise de la dette de la zone euro continuaient à assombrir l'atmosphère.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.2%, le CAC 40 français de 0.2% aussi, et le DAX 30 allemand de 0.59%.
Les acteurs des marchés demeuraient sur le qui-vive, sur fond d'angoisse concernant les taux des emprunts européens, dans l'expectative des ventes aux enchères de dettes espagnoles et italiennes devant avoir lieu en cours de semaine.
Ils avaient aussi été échaudés par l'article du magazine allemand Der Spiegel paru samedi selon lequel le Fonds Monétaire International serait en train de perdre confiance dans la capacité de la Grèce à renfouer ses finances publiques et supporter le fardeau de son surendettement.
La finance se trouvait en demi-teinte, la Deutsche Bank allemande prenant 0.19%, et le français BNP Paribas 0.42%, tandis que sa compatriote la Société Générale reculait de 0.51%.
Unicredit a pour sa part dévissé de 5.87% après avoir subi des pertes à deux chiffres trois jours d'affilée la semaine passée, après avoir annoncé une énorme baisse de tarifs concernant un problème de droits.
L'espagne abritait par contre de belles performances, Banco Santander raflant 1.28% et BBVA 0.98%.
A Londres, le FTSE 100 plongeait quand à lui de 0.3%.
La Royal Bank of Scotland prenait pourtant 0.24% et HSBC Holdings 0.51%, tandis que Lloyds Banking et Barclays fléchissaient de respectivement 0.3 et 0.23%.
Le secteur énergétique n'était pas à négliger, International Power arrachant 0.77% et Fresnillo 1.26%.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto ont par contre fondu de 0.38 et 0.46%.
Les perspectives des marchés américains étaient eux aussi incertains: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.08%, et celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.03%, alors que celles sur le Nasdaq 100 progressaient de 0.24%.
Nicolas Sarkozy, le président de la France, et Angela Merkel, la chancelière allemande, discuteront de leur côté de propositions visant à améliorer la coordination fiscale au sein de la zone euro dans l'après-midi.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.2%, le CAC 40 français de 0.2% aussi, et le DAX 30 allemand de 0.59%.
Les acteurs des marchés demeuraient sur le qui-vive, sur fond d'angoisse concernant les taux des emprunts européens, dans l'expectative des ventes aux enchères de dettes espagnoles et italiennes devant avoir lieu en cours de semaine.
Ils avaient aussi été échaudés par l'article du magazine allemand Der Spiegel paru samedi selon lequel le Fonds Monétaire International serait en train de perdre confiance dans la capacité de la Grèce à renfouer ses finances publiques et supporter le fardeau de son surendettement.
La finance se trouvait en demi-teinte, la Deutsche Bank allemande prenant 0.19%, et le français BNP Paribas 0.42%, tandis que sa compatriote la Société Générale reculait de 0.51%.
Unicredit a pour sa part dévissé de 5.87% après avoir subi des pertes à deux chiffres trois jours d'affilée la semaine passée, après avoir annoncé une énorme baisse de tarifs concernant un problème de droits.
L'espagne abritait par contre de belles performances, Banco Santander raflant 1.28% et BBVA 0.98%.
A Londres, le FTSE 100 plongeait quand à lui de 0.3%.
La Royal Bank of Scotland prenait pourtant 0.24% et HSBC Holdings 0.51%, tandis que Lloyds Banking et Barclays fléchissaient de respectivement 0.3 et 0.23%.
Le secteur énergétique n'était pas à négliger, International Power arrachant 0.77% et Fresnillo 1.26%.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto ont par contre fondu de 0.38 et 0.46%.
Les perspectives des marchés américains étaient eux aussi incertains: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.08%, et celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.03%, alors que celles sur le Nasdaq 100 progressaient de 0.24%.
Nicolas Sarkozy, le président de la France, et Angela Merkel, la chancelière allemande, discuteront de leur côté de propositions visant à améliorer la coordination fiscale au sein de la zone euro dans l'après-midi.