Investing.com - Le dollar U.S. restait en difficulté à la plupart de ses concurrents ce jeudi matin, tout en se maintenant aux alentours d'un sommet de quatre ans par rapport à son homologue japonais, tandis que l'ambiance demeurait timidement positive, après que l'émettrice de ce dernier ait entame un programme d'encouragements massifs.
En première partie de séance européenne, il lorgnait toujours sur la barre des 100 contre le yen, l'USD/JPY reculant de 0,26% pour chuter à 99,53.
Haruhiko Kuroda, nouveau gouverneur de la Banque du Japon, avait déclaré mercredi à l'aube que celle-ci était prête à poursuivre ses encouragements monétaires au-delà des deux ans prévus si cela était nécessaire pour atteindre les 2% d'inflation visés.
Il en était de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,13% pour grimper à 1,3087, en vue de son plus haut sommet en cinq semaines.
Le moral était remonté après qu'il ait été souligné à l'aube que les emprunts auprès des banques chinoises avaient fortement augmenté en mars, confirmant les signes de relance de l'économie au lendemain d'autres indices d'une forte demande nationale.
Le déroulement de l'émission d'obligations italiennes de la fin de matinée était au centre des débats, un bon résultat étant attendu en raison du contingent d'opérateurs à la recherche d'investissements plus juteux.
Le billet vert a aussi laissé la livre sterling reconquérir du terrain, le GBP/USD grignotant 0,23% pour monter à 1,5361, atteignant un pic de sept semaines.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF trébuchant de 0,14% pour descendre à 0,9312.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0,15% pour aller vers 1,0126, l'AUD/USD raflant 0,34% pour monter à 1,0577 et le NZD/USD engrangeant 0,99% pour culminer à 0,8659.
La seconde gardait le sourire sourire malgré une étude montrant la disparition de 36.100 emplois pour le mois de mars en Australie, au lieu des 5.000 déjà redoutés par certains analystes, tandis que le chômage national avait dépassé les craintes en se hissant de 5,4 à 5,6% dans le même temps.
La troisième a quand à elle rebondi après que le ministre des finances de la Nouvelle-Zélande ait déclaré que le budget national 2013 confirmait que le pays était en passe d'atteindre un excédent budgétaire d'ici 2015.
Cette tendance s'est encore accentuée avec la publication de bons résultats concernant le domaine du logement et le secteur secondaire locaux.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0,17% pour se situer à 82,46.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le décompte hebdomadaire de leurs nouvelles inscriptions au chômage.
En première partie de séance européenne, il lorgnait toujours sur la barre des 100 contre le yen, l'USD/JPY reculant de 0,26% pour chuter à 99,53.
Haruhiko Kuroda, nouveau gouverneur de la Banque du Japon, avait déclaré mercredi à l'aube que celle-ci était prête à poursuivre ses encouragements monétaires au-delà des deux ans prévus si cela était nécessaire pour atteindre les 2% d'inflation visés.
Il en était de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,13% pour grimper à 1,3087, en vue de son plus haut sommet en cinq semaines.
Le moral était remonté après qu'il ait été souligné à l'aube que les emprunts auprès des banques chinoises avaient fortement augmenté en mars, confirmant les signes de relance de l'économie au lendemain d'autres indices d'une forte demande nationale.
Le déroulement de l'émission d'obligations italiennes de la fin de matinée était au centre des débats, un bon résultat étant attendu en raison du contingent d'opérateurs à la recherche d'investissements plus juteux.
Le billet vert a aussi laissé la livre sterling reconquérir du terrain, le GBP/USD grignotant 0,23% pour monter à 1,5361, atteignant un pic de sept semaines.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF trébuchant de 0,14% pour descendre à 0,9312.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0,15% pour aller vers 1,0126, l'AUD/USD raflant 0,34% pour monter à 1,0577 et le NZD/USD engrangeant 0,99% pour culminer à 0,8659.
La seconde gardait le sourire sourire malgré une étude montrant la disparition de 36.100 emplois pour le mois de mars en Australie, au lieu des 5.000 déjà redoutés par certains analystes, tandis que le chômage national avait dépassé les craintes en se hissant de 5,4 à 5,6% dans le même temps.
La troisième a quand à elle rebondi après que le ministre des finances de la Nouvelle-Zélande ait déclaré que le budget national 2013 confirmait que le pays était en passe d'atteindre un excédent budgétaire d'ici 2015.
Cette tendance s'est encore accentuée avec la publication de bons résultats concernant le domaine du logement et le secteur secondaire locaux.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0,17% pour se situer à 82,46.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le décompte hebdomadaire de leurs nouvelles inscriptions au chômage.