Investing.com - Les bourses européennes ne se laissaient pas abattre ce mercredi matin, alors que les yeux étaient braqués sur les évènements chypriotes, après que le parlement ait refusé la taxation des dépôts auprès des banques nationales dont dépendait l'octroi des 10 milliards d'euros d'aides d'urgence internationales.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.77%, le CAC 40 français de 0.89%, et le DAX 30 allemand de 0.65%.
Le président chypriote Nicos Anastasiades a du coup convoqué une réunion d'urgence avec les chefs des différentes factions politiques afin d'étudier les solutions de rechange, une fois les termes de l'accord de secours refusés.
La Banque Centrale Européenne a quand à elle rappelé qu'elle pouvait fournir des liquidités aux établissements financiers de l'île, dans la limite de ses règles habituelles.
Le ministre des finances allemand Wolfgang Schäuble a pour sa part agité l'épouvantail de leur fermeture définitive en l'absence de bouée de sauvetage.
Mais le moral était de retour grâce à l'espoir croissant de nouvelles négociations au sein de l'Union Européenne afin de maintenir le pays au sein du bloc euro.
La finance s'en réjouissait, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank empochant respectivement 1.43 et 2.53%, suivis des français BNP Paribas et Société Générale avec 1.73 et 1.76%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA gagnant 0.71 et 0.55%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit étant plus dispersés avec 0.51 et 1.13%.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.45%, tiré vers le haut par des exploitants en forme.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto engrangeaient ainsi 0.77 et 1.34%, leur rival Vedanta n'étant pas en reste avec 2.07%.
Les cuivriers Kazakhmys et Xstrata étaient aussi de la fête, avec 1.86 et 1.38%.
La City était cependant moins unanime, Barclays prenant 0.31% et la Royal Bank of Scotland 0.65%, tandis que Lloyds Banking et HSBC Holdings décevaient avec des faux pas de 0.06 et 0.16%.
L'assureur Aviva plongeait aussi de 2.15% sur fond de rumeurs selon lesquelles 1 500 emplois pourraient être supprimés en cas de son départ de Perth, en Ecosse, alors qu'il se disait qu'une déménagement vers Glasgow était envisagé une fois le bail de ses bureaux de Pitheavlis expiré l'année prochaine.
Les perspectives des marchés américains partageaiant l'optimisme général: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.28%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.32% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.53%.
La prise de cap que la Réserve Fédérale effectuera cet après-midi était aussi sur toutes les lèvres, l'inflation modeste dévoilée vendredi lui ayant laissé la voie libre pour poursuivre ses acquisitions d'actifs.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.77%, le CAC 40 français de 0.89%, et le DAX 30 allemand de 0.65%.
Le président chypriote Nicos Anastasiades a du coup convoqué une réunion d'urgence avec les chefs des différentes factions politiques afin d'étudier les solutions de rechange, une fois les termes de l'accord de secours refusés.
La Banque Centrale Européenne a quand à elle rappelé qu'elle pouvait fournir des liquidités aux établissements financiers de l'île, dans la limite de ses règles habituelles.
Le ministre des finances allemand Wolfgang Schäuble a pour sa part agité l'épouvantail de leur fermeture définitive en l'absence de bouée de sauvetage.
Mais le moral était de retour grâce à l'espoir croissant de nouvelles négociations au sein de l'Union Européenne afin de maintenir le pays au sein du bloc euro.
La finance s'en réjouissait, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank empochant respectivement 1.43 et 2.53%, suivis des français BNP Paribas et Société Générale avec 1.73 et 1.76%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA gagnant 0.71 et 0.55%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit étant plus dispersés avec 0.51 et 1.13%.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.45%, tiré vers le haut par des exploitants en forme.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto engrangeaient ainsi 0.77 et 1.34%, leur rival Vedanta n'étant pas en reste avec 2.07%.
Les cuivriers Kazakhmys et Xstrata étaient aussi de la fête, avec 1.86 et 1.38%.
La City était cependant moins unanime, Barclays prenant 0.31% et la Royal Bank of Scotland 0.65%, tandis que Lloyds Banking et HSBC Holdings décevaient avec des faux pas de 0.06 et 0.16%.
L'assureur Aviva plongeait aussi de 2.15% sur fond de rumeurs selon lesquelles 1 500 emplois pourraient être supprimés en cas de son départ de Perth, en Ecosse, alors qu'il se disait qu'une déménagement vers Glasgow était envisagé une fois le bail de ses bureaux de Pitheavlis expiré l'année prochaine.
Les perspectives des marchés américains partageaiant l'optimisme général: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.28%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.32% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.53%.
La prise de cap que la Réserve Fédérale effectuera cet après-midi était aussi sur toutes les lèvres, l'inflation modeste dévoilée vendredi lui ayant laissé la voie libre pour poursuivre ses acquisitions d'actifs.