Investing.com - Le dollar U.S. était encore plus nettement en berne face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, les informations préliminaires montrant une croissance de l'économie américaine supérieure aux attentes pour le troisième trimestre, alimentant le retour du goût pour le risque.
En seconde partie de séance européenne, il a fortement fléchi devant l'euro, l'EUR/USD bondissant de 1.09% pour grimper à 1.4057.
L'audace est revenue après que les dirigeants européens aient convaincu les banques privées de subir 50% de réduction volontaire de leurs dettes grecques, allégeant quelque peu le fardeau accablant le pays, passsant de 160 à 120% de son produit intérieur brut d'ici 2020, une valeur plus supportable.
Ils nt également approuvé l'augmentation de la puissance de feu du Mécanisme de Stabilisation Financière Européen, le fonds de secours régional.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.26% pour se hisser à 1.6017.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.61% pour se retrouver à 75.71, dangereusement près de son plancher historique, et l'USD/CHF glissant de 1.27% pour tomber à 0.8697.
Jun Azumi, le ministre des finances japonais, a une fois de plus rappelé que le gouvernement agirait de manière résolue pour contrer tout mouvement excessif de sa monnaie.
La Banque du Japon a pour sa part annoncé de nouveaux assouplissements monétaires afin d'aider à l'affaiblir, en faisant gonfler son programme d'achats d'actifs de 5 à 55 billions de JPY, tout en maintenant son taux de prêt immédiat à 0.1%.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 1.04% pour s'effondrer vers 0.9936, l'AUD/USD raflant 2.4% pour s'envoler à 1.0648 et le NZD/USD engrangeant 1.73% pour culminer à 0.8149.
La Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande avait gardé dans la mmatinée son taux d'intérêt à 2.5%, estimant que la relance nécessitait davantage d'encouragement afin de revenir en force dans le droit chemin avant la fin de l'année.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 1.07% pour se situer à 75.59.
Le bureau d'analyse économie des Etats-Unis avait précédement annoncé que le produit intérieur brut du pays avait augmenté de 2.5% annuéisés au troisième trimestre, dépassant les 2.4% espérés.
Le département d'état au travail a quand à lui fait savoir que les nouvelles inscriptions au chômage avaient légèrement moins diminué que prévu au cours de la semaine écoulée, se retrouvant à 402 000 alors que les esperts tablaient sur un recul jusqu'à 400 000.
En seconde partie de séance européenne, il a fortement fléchi devant l'euro, l'EUR/USD bondissant de 1.09% pour grimper à 1.4057.
L'audace est revenue après que les dirigeants européens aient convaincu les banques privées de subir 50% de réduction volontaire de leurs dettes grecques, allégeant quelque peu le fardeau accablant le pays, passsant de 160 à 120% de son produit intérieur brut d'ici 2020, une valeur plus supportable.
Ils nt également approuvé l'augmentation de la puissance de feu du Mécanisme de Stabilisation Financière Européen, le fonds de secours régional.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.26% pour se hisser à 1.6017.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.61% pour se retrouver à 75.71, dangereusement près de son plancher historique, et l'USD/CHF glissant de 1.27% pour tomber à 0.8697.
Jun Azumi, le ministre des finances japonais, a une fois de plus rappelé que le gouvernement agirait de manière résolue pour contrer tout mouvement excessif de sa monnaie.
La Banque du Japon a pour sa part annoncé de nouveaux assouplissements monétaires afin d'aider à l'affaiblir, en faisant gonfler son programme d'achats d'actifs de 5 à 55 billions de JPY, tout en maintenant son taux de prêt immédiat à 0.1%.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 1.04% pour s'effondrer vers 0.9936, l'AUD/USD raflant 2.4% pour s'envoler à 1.0648 et le NZD/USD engrangeant 1.73% pour culminer à 0.8149.
La Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande avait gardé dans la mmatinée son taux d'intérêt à 2.5%, estimant que la relance nécessitait davantage d'encouragement afin de revenir en force dans le droit chemin avant la fin de l'année.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 1.07% pour se situer à 75.59.
Le bureau d'analyse économie des Etats-Unis avait précédement annoncé que le produit intérieur brut du pays avait augmenté de 2.5% annuéisés au troisième trimestre, dépassant les 2.4% espérés.
Le département d'état au travail a quand à lui fait savoir que les nouvelles inscriptions au chômage avaient légèrement moins diminué que prévu au cours de la semaine écoulée, se retrouvant à 402 000 alors que les esperts tablaient sur un recul jusqu'à 400 000.