Au terme du premier fixing de ce vendredi à Londres, l'once de 31,1 grammes d'or cotait 1.225,75 dollars (+ 3,25 dollars par rapport au fixing d'hier après-midi) et 1.073,1 euros (- 1 euro).
Selon les prix de Londres, le cours de l'once est bien parti pour terminer la semaine sur une baisse de 1,2% en dollar, et de 2% en euro. En effet, la monnaie unique européenne s'est reprise de près de 1% contre le billet vert sur la période.
Plus globalement, l'appétit pour les actifs risqués ne se dément pas, comme l'illustre à Paris à la hausse hebdomadaire de 1,4% dont profite l'indice d'actions CAC 40 à cette heure. A Francfort, le DAX 30 affiche une progression similaire, même si le FTSE londonien reste proche de l'équilibre.
En effet, les deux grands facteurs d'inquiétudes de ces derniers jours, l'Ukraine et la Grèce, se font plus discrets. Dans le premier cas, un cessez-le-feu entre les forces de Kiev et les séparatistes pro-russes épaulés par Moscou a été signé et devrait entrer en vigueur dimanche.
Dans le second, les pourparlers entre les instances européennes et Athènes, surtout ceux d'hier, ont permis d'avancer. Les dirigeants grecs jouent l'apaisement en se déclarant prêts à discuter avec la Troïka', commente d'ailleurs Barclays Bourse
Le message est nettement plus positif après l'échec la veille d'une réunion de l'Eurogroupe, commentent ce matin les analystes d'Aurel BGC. Des travaux préparatoires sont en cours et il faudra probablement attendre la prochaine réunion de l'Eurogroupe, lundi, avant d'en savoir plus.
Dans ce contexte, et après un bon début d'année, le cours de l'once en dollars se négocie désormais non loin d'un plus bas de cinq semaines.
Par ailleurs, l'encours d'or adossé au SPDR Gold Shares américain, qui stagnait depuis le 5 février à 773,3 tonnes, soit son plus haut niveau depuis l'automne dernier, a reculé hier à 771,5 tonnes.
D'un point de vue technique, les analystes de ScotiaMocatta estimaient dans leur dernier commentaire disponible que la tendance baissière semble bien partie pour accélérer.
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Selon les prix de Londres, le cours de l'once est bien parti pour terminer la semaine sur une baisse de 1,2% en dollar, et de 2% en euro. En effet, la monnaie unique européenne s'est reprise de près de 1% contre le billet vert sur la période.
Plus globalement, l'appétit pour les actifs risqués ne se dément pas, comme l'illustre à Paris à la hausse hebdomadaire de 1,4% dont profite l'indice d'actions CAC 40 à cette heure. A Francfort, le DAX 30 affiche une progression similaire, même si le FTSE londonien reste proche de l'équilibre.
En effet, les deux grands facteurs d'inquiétudes de ces derniers jours, l'Ukraine et la Grèce, se font plus discrets. Dans le premier cas, un cessez-le-feu entre les forces de Kiev et les séparatistes pro-russes épaulés par Moscou a été signé et devrait entrer en vigueur dimanche.
Dans le second, les pourparlers entre les instances européennes et Athènes, surtout ceux d'hier, ont permis d'avancer. Les dirigeants grecs jouent l'apaisement en se déclarant prêts à discuter avec la Troïka', commente d'ailleurs Barclays Bourse
Le message est nettement plus positif après l'échec la veille d'une réunion de l'Eurogroupe, commentent ce matin les analystes d'Aurel BGC. Des travaux préparatoires sont en cours et il faudra probablement attendre la prochaine réunion de l'Eurogroupe, lundi, avant d'en savoir plus.
Dans ce contexte, et après un bon début d'année, le cours de l'once en dollars se négocie désormais non loin d'un plus bas de cinq semaines.
Par ailleurs, l'encours d'or adossé au SPDR Gold Shares américain, qui stagnait depuis le 5 février à 773,3 tonnes, soit son plus haut niveau depuis l'automne dernier, a reculé hier à 771,5 tonnes.
D'un point de vue technique, les analystes de ScotiaMocatta estimaient dans leur dernier commentaire disponible que la tendance baissière semble bien partie pour accélérer.
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