Investing.com - Le dollar U.S. hésitait entre légars gains et faibles pertes face à la plupart de ses concurrents ce mercredi, les investisseurs demeurant ombrageux à l'approche de la réunion de la Banque Centrale Européenne de demain et des enchères de dettes européennes devant avoir lieu en cours de semaine.
En première partie de séance européenne, l'euro n'a presque pas fléchi devant lui, l'EUR/USD trébuchant de 0.02% pour descendre à 1.2776.
La monnaie unique a retrouvé des partisans aprèss que l'évaluation préliminaire du produit intérieur brut allemand ait montré une augmentation de 3% pour 2011, contre 3.6% l'année précédente, apaisant l'angoisse dûe à l'impact de la crise de la dette de la zone euro sur la plus grosse économie régionale.
La BCE devrait selon toute vraisemblance maintenir ses taux à 1% lors de sa réunion de demain, et y rappeler aux gouvernements du bloc euro la nécessité du renouvellement de leurs efforts dans la lutte contre le problème du surendettement de l'Europe.
Angela Merkel, la chancelière allemande, a pour sa part prévu de rencontrer aujourd'hui Mario Monti, premier ministre italien, afin d'évoquer le plan de renflouement des finances de la péninsule en préparation du sommet de l'Union Européenne du 30 janvier.
Le billet vert a également gagné quelques pouces de terrain sur la livre sterling, le GBP/USD perdant 0.13% pour glisser à 1.5462.
Le déficit de la balance du commerce extérieur des biens de la Grande-Bretagne s'est davantage creuse en novembre qu'il n'avait été craint, s'élevant à 8.6 milliards de GBP avec ajustement saisonnier pour le mois, contre 7.9 milliards pour le précédent.
Les experts ne pensaient pourtant pas le voir dépasser les 8.3 milliards pour la période considérée.
Le yen a d'autre part à peine subi sa pression, mais pas le franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.08% pour se retrouver à 76.91 et l'USD/CHF glissant de 0.02% pour reprendre pied à 0.9489.
Masaaki Shirakawa, gouverneur de la Banque du Japon, a pour sa part déclaré en début de matinée que les gouvernements devaient mettre en place les réformes "indispensables" pour panser les plaies de l'économie mondiale, ajoutant que la flambée de la monnaie nippone "causerait du tort à court terme à l'économie nationale", après que la banque centrale ait revu ses estimations économiques à la baisse pour décembre, et ce pour le second mois d'affilée.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été quelque peu dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.05% pour aller vers 1.0147, l'AUD/USD raflant 0.03% pour grimper à 1.0317 et le NZD/USD engrangeant 0.12% pour culminer à 0.7952.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a arraché 0.03% pour se situer à 81.17.
Les Etats-Unis devraient pour leur part dévoiler danns l'après-midi l'inventaire officiel de leurs réserves de pétrole brut, et la Réserve Fédérale publier son Livre Beige.
En première partie de séance européenne, l'euro n'a presque pas fléchi devant lui, l'EUR/USD trébuchant de 0.02% pour descendre à 1.2776.
La monnaie unique a retrouvé des partisans aprèss que l'évaluation préliminaire du produit intérieur brut allemand ait montré une augmentation de 3% pour 2011, contre 3.6% l'année précédente, apaisant l'angoisse dûe à l'impact de la crise de la dette de la zone euro sur la plus grosse économie régionale.
La BCE devrait selon toute vraisemblance maintenir ses taux à 1% lors de sa réunion de demain, et y rappeler aux gouvernements du bloc euro la nécessité du renouvellement de leurs efforts dans la lutte contre le problème du surendettement de l'Europe.
Angela Merkel, la chancelière allemande, a pour sa part prévu de rencontrer aujourd'hui Mario Monti, premier ministre italien, afin d'évoquer le plan de renflouement des finances de la péninsule en préparation du sommet de l'Union Européenne du 30 janvier.
Le billet vert a également gagné quelques pouces de terrain sur la livre sterling, le GBP/USD perdant 0.13% pour glisser à 1.5462.
Le déficit de la balance du commerce extérieur des biens de la Grande-Bretagne s'est davantage creuse en novembre qu'il n'avait été craint, s'élevant à 8.6 milliards de GBP avec ajustement saisonnier pour le mois, contre 7.9 milliards pour le précédent.
Les experts ne pensaient pourtant pas le voir dépasser les 8.3 milliards pour la période considérée.
Le yen a d'autre part à peine subi sa pression, mais pas le franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.08% pour se retrouver à 76.91 et l'USD/CHF glissant de 0.02% pour reprendre pied à 0.9489.
Masaaki Shirakawa, gouverneur de la Banque du Japon, a pour sa part déclaré en début de matinée que les gouvernements devaient mettre en place les réformes "indispensables" pour panser les plaies de l'économie mondiale, ajoutant que la flambée de la monnaie nippone "causerait du tort à court terme à l'économie nationale", après que la banque centrale ait revu ses estimations économiques à la baisse pour décembre, et ce pour le second mois d'affilée.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été quelque peu dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.05% pour aller vers 1.0147, l'AUD/USD raflant 0.03% pour grimper à 1.0317 et le NZD/USD engrangeant 0.12% pour culminer à 0.7952.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a arraché 0.03% pour se situer à 81.17.
Les Etats-Unis devraient pour leur part dévoiler danns l'après-midi l'inventaire officiel de leurs réserves de pétrole brut, et la Réserve Fédérale publier son Livre Beige.