Investing.com - Le dollar U.S. a retrouvé le sourire face à la plupart de ses concurrents ce jeudi après-midi, après qu'il ait été montré que l'afflux hebdomadaire des demandeurs d'emploi américains avait été le plus faible depuis janvier 2008.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD chutant de 0,16% pour reprendre pied à 1,3128, aux abords des creux journaliers.
Le département d'état au travail américain a en effet dénombré 4.000 incriptions au chômage de moins au cours de la semaine achevée le 4 mai, pour un total hebdomadaire de 323.000 après correction saisonnière, alors qu'une addition de 8.000 pour les amener à 335.000 était déjà redoutée.
Le billet vert a aussi forcé la livre sterling a quitter son piédestal, le GBP/USD ne grignotant plus que 0,05% pour frémir à 1,5540 après avoir caracolé à 1,5588.
La devise de la Grande-Bretagne avait établi son sommet du jour après qu'une étude officielle ait montré que l'activité des usines britanniques avait dépassé les espérances pour mars, ravivant les espoirs de reprise.
La Banque d'Angleterre a ensuite maintenu son taux de base à 0,5%, son niveau le plus bas de l'histoire, et le volume de ses rachats d'actifs à 375 milliards de GBP.
Il a d'autre part mieux résisté à la pression du yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,15% pour se retrouver à 98,65, échappant même à celle du franc suisse, l'USD/CHF grimpant de 0,13% pour se hisser à 0,9365.
La monnaie des Etats-Unis était par contre toujours dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais plus par la canadienne, l'AUD/USD raflant 0,40% pour monter à 1,0211, le NZD/USD engrangeant 0,61% pour culminer à 0,8452 et l'USD/CAD progressant de 0,04% pour aller vers 1,0035.
Une étude officielle avait fait savoir à l'aube que 50.100 postes avaient été créés en avril là où la première a cours, pulvérisant les 11.500 espérés, tandis que le taux de chômage national s'érodait du même coup de 5,6 vers 5,5%.
Il en était de même pour la seconde, le nombre des salariés augmentant de 1,7% au premier trimestre, au lieu des 0,8% envisagés, alors que la proportion des demandeurs d'emploi passait de 6,9 à 6,2%.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0,13% pour se situer à 82,08.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD chutant de 0,16% pour reprendre pied à 1,3128, aux abords des creux journaliers.
Le département d'état au travail américain a en effet dénombré 4.000 incriptions au chômage de moins au cours de la semaine achevée le 4 mai, pour un total hebdomadaire de 323.000 après correction saisonnière, alors qu'une addition de 8.000 pour les amener à 335.000 était déjà redoutée.
Le billet vert a aussi forcé la livre sterling a quitter son piédestal, le GBP/USD ne grignotant plus que 0,05% pour frémir à 1,5540 après avoir caracolé à 1,5588.
La devise de la Grande-Bretagne avait établi son sommet du jour après qu'une étude officielle ait montré que l'activité des usines britanniques avait dépassé les espérances pour mars, ravivant les espoirs de reprise.
La Banque d'Angleterre a ensuite maintenu son taux de base à 0,5%, son niveau le plus bas de l'histoire, et le volume de ses rachats d'actifs à 375 milliards de GBP.
Il a d'autre part mieux résisté à la pression du yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,15% pour se retrouver à 98,65, échappant même à celle du franc suisse, l'USD/CHF grimpant de 0,13% pour se hisser à 0,9365.
La monnaie des Etats-Unis était par contre toujours dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais plus par la canadienne, l'AUD/USD raflant 0,40% pour monter à 1,0211, le NZD/USD engrangeant 0,61% pour culminer à 0,8452 et l'USD/CAD progressant de 0,04% pour aller vers 1,0035.
Une étude officielle avait fait savoir à l'aube que 50.100 postes avaient été créés en avril là où la première a cours, pulvérisant les 11.500 espérés, tandis que le taux de chômage national s'érodait du même coup de 5,6 vers 5,5%.
Il en était de même pour la seconde, le nombre des salariés augmentant de 1,7% au premier trimestre, au lieu des 0,8% envisagés, alors que la proportion des demandeurs d'emploi passait de 6,9 à 6,2%.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0,13% pour se situer à 82,08.