Le groupe CEZ, le géant tchèque de l'énergie, a fait état d'une solide performance au premier semestre 2024, avec une augmentation notable de son EBITDA et de son revenu net. Lors de la récente alerte résultats, l'entreprise a annoncé une augmentation de 11 % de l'EBITDA à 69,2 milliards de couronnes tchèques et une croissance de 5 % du résultat net atteignant 21,1 milliards de couronnes tchèques.
Malgré un flux de trésorerie négatif, le groupe CEZ a revu à la hausse ses prévisions d'EBITDA pour l'ensemble de l'année, les situant entre 118 et 122 milliards de couronnes tchèques, et prévoit un revenu net de 25 à 30 milliards de couronnes tchèques. L'entreprise a également évoqué ses pratiques durables, étant classée parmi les 10 % les plus performants en matière d'ESG, et sa procédure d'arbitrage en cours avec Gazprom.
Principaux enseignements
- L'EBITDA du groupe CEZ a augmenté de 6,8 milliards de couronnes tchèques pour atteindre 69,2 milliards de couronnes tchèques, soit une croissance de 11 %.
- Le revenu net a augmenté pour atteindre 21,1 milliards de couronnes tchèques, soit une hausse de 5 % par rapport à l'année précédente.
- L'estimation de l'EBITDA pour l'ensemble de l'année a été relevée à 118 à 122 milliards de couronnes tchèques, et le revenu net devrait se situer entre 25 et 30 milliards de couronnes tchèques.
- L'entreprise est en pourparlers avec la société sud-coréenne KHNP pour la construction de deux nouvelles unités nucléaires à la centrale de Dukovany.
- La production d'électricité a baissé de 4 %, avec une réduction notable de la production de charbon en Pologne de 31 %.
- Le prix moyen atteint pour l'électricité en 2024 se situe entre 132 € et 136 € par mégawattheure.
- Le chiffre d'affaires du segment de la distribution a augmenté de 16 %, et le segment des ventes a connu une croissance significative à la fois dans la vente au détail et dans les services énergétiques.
Perspectives de l'entreprise
- Le groupe CEZ a réduit ses prévisions d'EBITDA pour l'ensemble de l'année de 1 milliard de couronnes tchèques.
- La société prévoit un revenu net de 25 à 30 milliards de couronnes tchèques pour l'ensemble de l'année.
- L'énergie nucléaire reste une priorité, avec des projets de construction de nouvelles unités et des discussions sur les modèles de financement.
- La taxe sur les bénéfices exceptionnels devrait rester en place en 2024 et peut-être en 2025, avec un paiement total estimé entre 27 et 34 milliards de couronnes tchèques.
Faits marquants baissiers
- Le flux de trésorerie d'exploitation a été négatif, influencé par les marges payées en 2022 et restituées en 2023.
- La production d'électricité a baissé de 4 % par rapport à 2023, la production nucléaire et la production de charbon ayant baissé.
- L'entreprise a constaté une légère diminution de sa clientèle, certains clients ayant cherché à obtenir une meilleure valeur ailleurs.
Points forts haussiers
- Le groupe CEZ est bien classé pour l'ESG, ce qui indique de solides pratiques en matière de développement durable.
- Le segment des ventes a connu une croissance significative, en particulier dans les secteurs de la vente au détail et des services énergétiques.
- Les revenus des ventes de services énergétiques ont augmenté de 20 %.
Ratés
- Le volume des ventes d'électricité et de gaz a diminué de 15 %, principalement en raison d'un hiver plus doux.
- La distribution aux clients résidentiels a diminué de 5 % et celle aux petites entreprises de 3 %.
Questions et réponses
- La taxe exceptionnelle pour l'ensemble de l'année est estimée entre 37 et 34 milliards de CZK, 15 milliards de CZK ayant déjà été versés.
- Le groupe CEZ négocie la vente de ses unités polonaises et est ouvert à d'autres options si aucun accord n'est conclu.
- La construction de nouvelles unités nucléaires devrait être achevée d'ici 2036 et 2038, un éventuel retard n'étant pas considéré comme significatif.
En conclusion, le groupe CEZ (ticker non communiqué) a fait preuve de résilience et de croissance au cours du premier semestre 2024, dépassant les attentes des analystes. L'engagement de l'entreprise à développer son portefeuille nucléaire et ses pratiques durables la positionne comme un acteur tourné vers l'avenir dans le secteur de l'énergie. Toutefois, des défis tels que le flux de trésorerie d'exploitation négatif et l'impact de la taxe sur les bénéfices exceptionnels seront à surveiller dans les mois à venir.
Cet article a été généré et traduit avec l'aide de l'IA et revu par un rédacteur. Pour plus d'informations, consultez nos T&C.