Investing.com - Le dollar U.S. était en hausse face à la plupart de ses concurrents ce lundi, les traders des fonds de spéculation ayant encaissé les profits générés par sa faiblesse de la semaine passée.
Il a montré sa forme contre l'euro en première partie de séance européenne, l'EUR/USD cédant 0.36% pour descendre à 1.3442.
De même avec la livre sterling et le franc suisse, le GBP/USD se laissant rogner 0.09% pour trébucher à 1.5811 et l'USD/CHF prenant 0.23% pour monter à 0.9856.
Les chiffres de l'agence Hometrack avaient auparavant montré que les prix de l'immobilier du Royaume-Uni avaient connu en septembre leur plus forte baisse des 18 derniers mois.
Le billet vert a également gagné du terrain sur ses homologues canadien, australien et néo-zélandais, l'USD/CAD sapant 0.02% pour frémir à 1.0245, l'AUD/USD se laissant rogner 0.03% pour hoqueter à 0.9589, et le NZD/USD glissant de 0.09% pour se retrouver à 0.7343.
Il a toutefois dû céder sous la pression du yen, l'USD/JPY se laissant arracher 0.06% pour s'échanger à 84.23.
Masaaki Shirakawa, gouverneur de la Banque du Japon, avait auparavant déclaré que cette dernière surveillait minutieusement les conséquences du renforcement de la monnaie nippone sur l'économie nationale.
L'indice dollar, reflétant les performances de la monnaie américaine par rapport à celles d'un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a progressé de 0.22%.
Nouriel Roubini, économiste connu pour avoir prédit la crise des crédits douteux, avait auparavant averti que l'économie américaine était susceptible de tomber dans une seconde récession. Il a aussi ajouté que les chiffres du PIB du second trimestre avaient des chances d'être révisés à la baisse après les "affreux" chiffres de l'immobilier de juin.
Il a montré sa forme contre l'euro en première partie de séance européenne, l'EUR/USD cédant 0.36% pour descendre à 1.3442.
De même avec la livre sterling et le franc suisse, le GBP/USD se laissant rogner 0.09% pour trébucher à 1.5811 et l'USD/CHF prenant 0.23% pour monter à 0.9856.
Les chiffres de l'agence Hometrack avaient auparavant montré que les prix de l'immobilier du Royaume-Uni avaient connu en septembre leur plus forte baisse des 18 derniers mois.
Le billet vert a également gagné du terrain sur ses homologues canadien, australien et néo-zélandais, l'USD/CAD sapant 0.02% pour frémir à 1.0245, l'AUD/USD se laissant rogner 0.03% pour hoqueter à 0.9589, et le NZD/USD glissant de 0.09% pour se retrouver à 0.7343.
Il a toutefois dû céder sous la pression du yen, l'USD/JPY se laissant arracher 0.06% pour s'échanger à 84.23.
Masaaki Shirakawa, gouverneur de la Banque du Japon, avait auparavant déclaré que cette dernière surveillait minutieusement les conséquences du renforcement de la monnaie nippone sur l'économie nationale.
L'indice dollar, reflétant les performances de la monnaie américaine par rapport à celles d'un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a progressé de 0.22%.
Nouriel Roubini, économiste connu pour avoir prédit la crise des crédits douteux, avait auparavant averti que l'économie américaine était susceptible de tomber dans une seconde récession. Il a aussi ajouté que les chiffres du PIB du second trimestre avaient des chances d'être révisés à la baisse après les "affreux" chiffres de l'immobilier de juin.