Efeso Consulting publie un chiffre d'affaires de 72,4 millions d'euros en 2015, en hausse de 13,3% (+3,1% à périmètre et taux de change constants), dont 18,6 millions sur le quatrième trimestre (+12,2% en données publiées et -0,9% en organique).
'Après deux premiers trimestres de très forte croissance, le deuxième semestre a été marqué par un ralentissement important sur la plupart de nos marchés', précise Filippo Mantegazza, président du directoire d'Efeso Consulting.
'Pour l'exercice, malgré un environnement fortement concurrentiel, plusieurs de nos grands marchés (France, Allemagne, Royaume-Uni) ont affiché une croissance soutenue', nuance le dirigeant pointant aussi des progressions très importantes au Moyen-Orient et en Chine.
Efeso Consulting rappelle en outre avoir intégré, en mai dernier, la société Belge Empact, devenue Efeso Belgium. Cette acquisition a contribué au chiffre d'affaires à hauteur de 4,7 millions d'euros en 2015.
Dans l'environnement incertain qui caractérise ce début d'année 2016, le cabinet conserve l'objectif de réaliser une croissance organique supérieure à celle du marché du conseil en 2015 et de voir sa rentabilité opérationnelle progresser plus vite que ses ventes.
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'Après deux premiers trimestres de très forte croissance, le deuxième semestre a été marqué par un ralentissement important sur la plupart de nos marchés', précise Filippo Mantegazza, président du directoire d'Efeso Consulting.
'Pour l'exercice, malgré un environnement fortement concurrentiel, plusieurs de nos grands marchés (France, Allemagne, Royaume-Uni) ont affiché une croissance soutenue', nuance le dirigeant pointant aussi des progressions très importantes au Moyen-Orient et en Chine.
Efeso Consulting rappelle en outre avoir intégré, en mai dernier, la société Belge Empact, devenue Efeso Belgium. Cette acquisition a contribué au chiffre d'affaires à hauteur de 4,7 millions d'euros en 2015.
Dans l'environnement incertain qui caractérise ce début d'année 2016, le cabinet conserve l'objectif de réaliser une croissance organique supérieure à celle du marché du conseil en 2015 et de voir sa rentabilité opérationnelle progresser plus vite que ses ventes.
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