Saft a annoncé ce jeudi via un communiqué diffusé après Bourse avoir enregistré une contraction de 4,9% de son chiffre d'affaires du premier trimestre en glissement annuel à 172,5 millions d'euros (-4,4% à devises constantes).
L'activité a pâti du décrochage des revenus provenant du segment 'Stationnaire Industriel', lesquels sont ressortis à 34,4 millions d'euros sur la période, en bausse de 30,4% et de 28,7% par rapport aux 3 premiers mois de l'exercice écoulé. Une lourde baisse que le fabricant de batteries industrielles a imputé au fort ralentissement des dépenses et investissements des acteurs du secteur pétrolier, en sus d'une base de comparaison défavorable par rapport au premier trimestre de l'année dernière qui avait bénéficié de la livraison de plusieurs grands projets dans ce même secteur.
Les ventes issues des divisions 'Electronique civile', 'Transport, Télécom et Réseaux' et 'Espace et Défense' se sont quant à elles élevées à respectivement 64,9, 58,1 et 15,1 millions d'euros, en hausse de 3,8, 4,9 et 7,9% (+3,2%, +5,2% et +6,6% à devises constantes).
'La meilleure visibilité de notre carnet de commande dans les activités pétrole et gaz nous permet d'anticiper une amélioration sensible des ventes de la division 'Stationnaire Industriel' au deuxième trimestre, et donc du groupe dans son ensemble', a indiqué Ghislain Lescuyer, président du directoire.
Saft a en outre qualifié 2016 d''année de transition visant à renforcer la croissance rentable du Groupe à moyen terme par la mise en oeuvre du plan 'Power 2020' '.
De nombreuses initiatives ont été lancées dans les domaines organisationnels et R&D, et en particulier dans la division 'Transports, Télécommunication & Réseaux'. Les premiers bénéfices financiers sont attendus en 2017 compte tenu des coûts de mise en oeuvre. En revanche, les premières améliorations opérationnelles seront visibles dès le second semestre 2016, a également précisé le groupe, qui a renouvelé ses objectifs à moyen terme définis lors de la présentation du plan 'Power 2020' en novembre dernier, à savoir un chiffre d'affaires de plus de 900 millions d'euros et une marge d'Ebitda d'au moins 16% à horizon 2019.
Copyright (c) 2016 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
L'activité a pâti du décrochage des revenus provenant du segment 'Stationnaire Industriel', lesquels sont ressortis à 34,4 millions d'euros sur la période, en bausse de 30,4% et de 28,7% par rapport aux 3 premiers mois de l'exercice écoulé. Une lourde baisse que le fabricant de batteries industrielles a imputé au fort ralentissement des dépenses et investissements des acteurs du secteur pétrolier, en sus d'une base de comparaison défavorable par rapport au premier trimestre de l'année dernière qui avait bénéficié de la livraison de plusieurs grands projets dans ce même secteur.
Les ventes issues des divisions 'Electronique civile', 'Transport, Télécom et Réseaux' et 'Espace et Défense' se sont quant à elles élevées à respectivement 64,9, 58,1 et 15,1 millions d'euros, en hausse de 3,8, 4,9 et 7,9% (+3,2%, +5,2% et +6,6% à devises constantes).
'La meilleure visibilité de notre carnet de commande dans les activités pétrole et gaz nous permet d'anticiper une amélioration sensible des ventes de la division 'Stationnaire Industriel' au deuxième trimestre, et donc du groupe dans son ensemble', a indiqué Ghislain Lescuyer, président du directoire.
Saft a en outre qualifié 2016 d''année de transition visant à renforcer la croissance rentable du Groupe à moyen terme par la mise en oeuvre du plan 'Power 2020' '.
De nombreuses initiatives ont été lancées dans les domaines organisationnels et R&D, et en particulier dans la division 'Transports, Télécommunication & Réseaux'. Les premiers bénéfices financiers sont attendus en 2017 compte tenu des coûts de mise en oeuvre. En revanche, les premières améliorations opérationnelles seront visibles dès le second semestre 2016, a également précisé le groupe, qui a renouvelé ses objectifs à moyen terme définis lors de la présentation du plan 'Power 2020' en novembre dernier, à savoir un chiffre d'affaires de plus de 900 millions d'euros et une marge d'Ebitda d'au moins 16% à horizon 2019.
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