Investing.com - Le dollar U.S. était encore plus en forme face à la plupart de ses concurrents ce mercredi, après que l'agence de gestion des ressources humaines ADP ait annoncé que les employeurs privés américains avaient créé 201 000 emplois en mars, tout en révisant légèrement à la baisse le résultat de février.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.22% pour tomber à 1.408.
Les chiffres du marché de l'emploi étaient à peu près conformes aux attentes, les experts espérant toutefois voir 210 000 postes s'ajouter, tandis que les 217 000 préalablement évalués pour février se trouvaient revus à 208 000.
Le billet vert a par contre perdu du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD grignotant 0.09% pour aller jusqu'à 1.6025.
Une étude de la confédération britannique de la grande distribution avait auparavant indiqué que les ventes au détail avaient augmenté en mars de manière inattendue, mais que leur tendance sous-jacente restait faible.
Le yen et le franc suisse pour leur part subi sa pression, l'USD/JPY grimpant de 0.72% pour se hisser à 83.07 et l'USD/CHF grignotant 0.26% pour culminer à 0.9223.
La monnaie des Etats-Unis a toutefois été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD perdant 0.43% pour descendre à 0.9702, l'AUD/USD sapant 0.11% pour se retrouver à 1.0302 et le NZD/USD s'élevant de 0.52% pour culminer à 0.7601.
Une étude de source gouvernementale avait indiqué ce matin que le nombre des nouveaux permis de construire néo-zélandais était tombé en février à son pire niveau en 2 ans, sans qu'il soit malgré tout possible de déterminer quelle part de cette chute était dûe au tremblement de terre ayant ravagé la ville de Christchurch le 22 février.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a engrangé 0.2%.
James Bullard, président de la réserve fédérale de St. Louis et Thomas Hoenig, son homologue de Kansas City, devraient prendre la parole publiquement en cours de journée.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.22% pour tomber à 1.408.
Les chiffres du marché de l'emploi étaient à peu près conformes aux attentes, les experts espérant toutefois voir 210 000 postes s'ajouter, tandis que les 217 000 préalablement évalués pour février se trouvaient revus à 208 000.
Le billet vert a par contre perdu du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD grignotant 0.09% pour aller jusqu'à 1.6025.
Une étude de la confédération britannique de la grande distribution avait auparavant indiqué que les ventes au détail avaient augmenté en mars de manière inattendue, mais que leur tendance sous-jacente restait faible.
Le yen et le franc suisse pour leur part subi sa pression, l'USD/JPY grimpant de 0.72% pour se hisser à 83.07 et l'USD/CHF grignotant 0.26% pour culminer à 0.9223.
La monnaie des Etats-Unis a toutefois été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD perdant 0.43% pour descendre à 0.9702, l'AUD/USD sapant 0.11% pour se retrouver à 1.0302 et le NZD/USD s'élevant de 0.52% pour culminer à 0.7601.
Une étude de source gouvernementale avait indiqué ce matin que le nombre des nouveaux permis de construire néo-zélandais était tombé en février à son pire niveau en 2 ans, sans qu'il soit malgré tout possible de déterminer quelle part de cette chute était dûe au tremblement de terre ayant ravagé la ville de Christchurch le 22 février.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a engrangé 0.2%.
James Bullard, président de la réserve fédérale de St. Louis et Thomas Hoenig, son homologue de Kansas City, devraient prendre la parole publiquement en cours de journée.