Investing.com - La livre sterling a fait encore plus fléchir le dollar U.S. ce lundi, s'élevant vers un pic des six derniers jours de cotation, le goût pour le risque éyant été ranimé par l'optimisme entourant l'accord sur la façon d'aborder la crise de la dette souveraine de la zone euro.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1.5664 en début de seconde partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 30 septembre, puis s'est stabilisée vers 1.5642, gagnant 0.55%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5421, son plancher de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 1.5715, son plafond du 29 septembre.
Angela Merkel, la chancelière allemande, et son homologue français ont en effet déclaré après leur rencontre de dimanche à Berlin prévoir de présenter un ensemble "complet" de mesures de lutte conjointe contre le problème du surendettement régional.
Elles devraient notamment comporter l'apport de nouveaux capitaux aux banques européennes, une solution durable au problème du surendettement grec, et une accélération de la coordination des politiques budgétaires entre les différents états membres.
La devise de la Grande-Bretagne restait toutefois sur la sellette suite à la mise en place par la Banque d'Angleterre de nouveaux assouplissements monétaires afin de soutenir une économie chancelante.
Elle a en effet plongé confrontée à la monnaie unique, l'EUR/GBP engrangeant 1.08% pour grimper à 0.869.
La banque franco-belge Dexia, subissant de graves difficultés, a par ailleurs accepté aujourd'hui la nationalisation de sa branche belge, en raison de la crainte d'une faillite.
François Baroin, ministre des finances de la France, s'est vuolu rassurant en déclarant ne pas penser que d'autres banques aient besoin d'être remises à flot.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1.5664 en début de seconde partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 30 septembre, puis s'est stabilisée vers 1.5642, gagnant 0.55%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5421, son plancher de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 1.5715, son plafond du 29 septembre.
Angela Merkel, la chancelière allemande, et son homologue français ont en effet déclaré après leur rencontre de dimanche à Berlin prévoir de présenter un ensemble "complet" de mesures de lutte conjointe contre le problème du surendettement régional.
Elles devraient notamment comporter l'apport de nouveaux capitaux aux banques européennes, une solution durable au problème du surendettement grec, et une accélération de la coordination des politiques budgétaires entre les différents états membres.
La devise de la Grande-Bretagne restait toutefois sur la sellette suite à la mise en place par la Banque d'Angleterre de nouveaux assouplissements monétaires afin de soutenir une économie chancelante.
Elle a en effet plongé confrontée à la monnaie unique, l'EUR/GBP engrangeant 1.08% pour grimper à 0.869.
La banque franco-belge Dexia, subissant de graves difficultés, a par ailleurs accepté aujourd'hui la nationalisation de sa branche belge, en raison de la crainte d'une faillite.
François Baroin, ministre des finances de la France, s'est vuolu rassurant en déclarant ne pas penser que d'autres banques aient besoin d'être remises à flot.