Investing.com - La livre sterling a quelque peu fléchi face au dollar U.S. ce mercredi, sur fond d'incertitudes concernant la capacité de la Grèce à réaliser les réformes fiscales découlant de son second plan de secours, tandis que les observateurs guettaient la publication du compte-rendu de la réunion de février de la Banque d'Angleterre.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.5759 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 16 février, puis s'est stabilisée vers 1.576, perdant 0.11%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.564, son plancher du 16 février, et de rencontrer de la résistance à 1.5813, son plafond du jour.
Les ministres des finances de la zone euro ont en effet accordé hier les 130 milliards d'euros d'aides permettant à la Grèce d'éviter un défaut de paiement en mars, mais le scepticisme demeure quand à la capacité du plan de sauvetage de résoudre les problèmes fiscaux du pays.
La devise de la Grande-Bretagne s'est également retrouvée sur la sellette à l'orée de la divulgation du compte-rendu de la plus récente réunion du conseil d'orientation de la banque centrale britannique.
Celui-ci y avait en effet voté en début de mois l'addition de 50 milliards de GBP au programme d'achats d'actifs, en raison de la crainte que la croissance nationale ne soit en perte de vitesse.
Sean Bean, son gourverneur adjoint, a déclaré hier que la croissance demeurerait "paresseuse" pour le premier semestre 2012 malgré la diminutino de l'inflation et l'amélioration des résultats économiques, estimant donc qu'il était "d'autant plusnécessaire" de consolider l'économie.
La monnaie du Royaume-Uni n'a presque pas cédé de terrain à l'euro, l'EUR/GBP grignotant 0.01% pour se hisser à 0.8385.
Les spécialistes de l'imobilier des Etats-Unis diffuseront dans la journée leurs chiffres des ventes de logements d'occasion.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.5759 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 16 février, puis s'est stabilisée vers 1.576, perdant 0.11%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.564, son plancher du 16 février, et de rencontrer de la résistance à 1.5813, son plafond du jour.
Les ministres des finances de la zone euro ont en effet accordé hier les 130 milliards d'euros d'aides permettant à la Grèce d'éviter un défaut de paiement en mars, mais le scepticisme demeure quand à la capacité du plan de sauvetage de résoudre les problèmes fiscaux du pays.
La devise de la Grande-Bretagne s'est également retrouvée sur la sellette à l'orée de la divulgation du compte-rendu de la plus récente réunion du conseil d'orientation de la banque centrale britannique.
Celui-ci y avait en effet voté en début de mois l'addition de 50 milliards de GBP au programme d'achats d'actifs, en raison de la crainte que la croissance nationale ne soit en perte de vitesse.
Sean Bean, son gourverneur adjoint, a déclaré hier que la croissance demeurerait "paresseuse" pour le premier semestre 2012 malgré la diminutino de l'inflation et l'amélioration des résultats économiques, estimant donc qu'il était "d'autant plusnécessaire" de consolider l'économie.
La monnaie du Royaume-Uni n'a presque pas cédé de terrain à l'euro, l'EUR/GBP grignotant 0.01% pour se hisser à 0.8385.
Les spécialistes de l'imobilier des Etats-Unis diffuseront dans la journée leurs chiffres des ventes de logements d'occasion.