Investing.com - La livre sterling n'a guère réussi à s'éloigner d'un creux de quatre mois et demi face au dollar U.S. ce lundi, les chiffres décevants de l'emploi américain alimentant l'angoisse d'un ralentissement dde la croissance économique mondiale.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.5342 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.537, grignotant 0.05%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5267, son plancher de 26 semaines datant de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 1.5436, son plafond de vendredi.
Des résultats officiels avaient en effet révélé que seuls 69 000 postes avaient été créés en mai aux Etats-Unis, une performance nettement inférieure aux 150 000 escomptés, tandis que le taux de chômage s'élevait depuis 8.1 vers 8.2%.
Ces performances étonnamment médiocres ont conforté l'idée que la crise de la zone euro exerçait un impact négatif sur la croissance mondiale, alimentant les rumeurs faisant état de l'imminence d'une troisième série d'assouplissements quantitatifs de la part de la Réserve Fédérale.
La méfiance était déjà de mise, dans l'angoisse que les coûts élevés des emprunts de l'Espagne ne la poussent à demander de l'aide financière à l'étranger afin de l'aider à sauver un secteur bancaire en pleine déconfiture.
La devise de la Grande-Bretagne a par contre regagné un terrain substantiel sur l'euro, l'EUR/GBP cédant 0.2% pour glisser à 0.8077.
Les volumes des transactions devraient toutefois être faibles en ce jour férié pour les places boursières britanniques.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.5342 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.537, grignotant 0.05%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5267, son plancher de 26 semaines datant de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 1.5436, son plafond de vendredi.
Des résultats officiels avaient en effet révélé que seuls 69 000 postes avaient été créés en mai aux Etats-Unis, une performance nettement inférieure aux 150 000 escomptés, tandis que le taux de chômage s'élevait depuis 8.1 vers 8.2%.
Ces performances étonnamment médiocres ont conforté l'idée que la crise de la zone euro exerçait un impact négatif sur la croissance mondiale, alimentant les rumeurs faisant état de l'imminence d'une troisième série d'assouplissements quantitatifs de la part de la Réserve Fédérale.
La méfiance était déjà de mise, dans l'angoisse que les coûts élevés des emprunts de l'Espagne ne la poussent à demander de l'aide financière à l'étranger afin de l'aider à sauver un secteur bancaire en pleine déconfiture.
La devise de la Grande-Bretagne a par contre regagné un terrain substantiel sur l'euro, l'EUR/GBP cédant 0.2% pour glisser à 0.8077.
Les volumes des transactions devraient toutefois être faibles en ce jour férié pour les places boursières britanniques.