Investing.com - Les options sur le brut étaient quelque peu sur la défensive ce jeudi, mais gardaient le sourire suite à leur sommet trimestriel d'hier, guettant aujourd'hui une série de résultats provenant les Etats-Unis, qui devraient donner une image plus précise l'état de santé de leur économie.
L'attente d'accomodements supplémentaires de la part de la Chine a également conforté cette tendance.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour septembre se sont échangés à 94.03 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0.3%.
Ils avaient auparavant oscillé entre 94.61 USD, leur meilleur cours du jour, et 93.94 USD, leur pire.
La veille les avait vus culminer à 94.9 USD, leur plus haut niveau depuis le 15 mai, après que le département d'état américain à l'énergie ait déclaré dans son dernier rapport que les réserves de pétrole nationales avaient subi la semaine dernière une hémorrhagie dépassant les attentes avec 3.7 millions de barils, pour en totaliser 366.2 millions, et se retrouver à leur niveau le plus bas en quatre mois.
Il a en effet été montré mercredi que la production industrielle des Etats-Unis avait davantage augmenté en juillet qu'il n'évait été espéré.
Une autre étude avait signalé auparavant que les ventes auprès des particuliers américains avaient bondi de 0.8% en juillet, dépassant largement les 0.3% espérés, et mettant fin à quatre mois de vaches maigres, étouffant du même coup les attentes d'injections de capitaux de la part de la banque centrale américaine.
Mais la prudence demeurait toutefois de mise après que d'autres informations révélées le même jour aient fait savoir que le baromètre de l'activité des usines dans la région de New York avait fléchi en août pour la première fois depuis octobre 2011.
De nombreux autres résultats concernant les Etats-Unis étaient encore attendus aujourd'hui, et devraient permettre de préciser l'état de santé de leur économie, afin d'évaluer le besoin ou non de nouveaux coups de pouce.
Les autorités du pays comptaient donc annoncer de leur côté cet après-midi le nombre des permis de construire qu'elles ont accordés, et fourniront leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage, sans oublier celui des lancements de chantiers et une étude sur l'activité manufacturière dans la région de Philadelphie.
Le pays garde sa première part dans demande mondiale, avec près de 22%.
Mais les cours ont retrouvé le sourire après que Wen Jiabao, premier ministre chinois, ait déclaré hier soir que le ralentissemeent de l'inflation "fournissait davantage de marge de manoeuvre concernant la politique monétaire" afin de donner un coup de fouet à la seconde économie mondiale.
Les rumeurs selon lesquelles les autorités de Pékin procèderaient à une nouvelle diminution des quotas prudentiels imposés aux banques ou des taux d'intérêt ont donc enflé, les prix nationaux ayant connu en juillet leur plus faible augmentation des trente derniers mois.
La Banque Populaire de Chine a déjà par deux fois agi de la sorte sur chacun de ces leviers cette année, afin d'encourager les prêts et la croissance.
Les besoin en or noir nationaux ne sont en effet seconds que derrière ceux des Etats-Unis.
L'aggravation renouvelée des violences en Syrie et la résurgence de l'envenimement des relations entre l'Iran et l'Occident sont aussi allées dans le même sens.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour octobre ont laissé échapper 0.25% pour s'établir à 114 USD du baril dans le même temps, soit 18.52 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Elles avaient établi hier un pic à 114.77 USD, leur valeur la plus forte depuis le 4 mai.
Leurs cours, établis à Londres, se sont eux aussi trouvés tirés vers le haut ces dernières semaines, avec une envolée de près de 20% depuis leurs ornières de juin, en raison de la peur d'une diminution des livraisons provenant de la Mer du Nord, et du renforcement des sanctions imposées contre l'Iran depuis le premier juillet.
L'attente d'accomodements supplémentaires de la part de la Chine a également conforté cette tendance.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour septembre se sont échangés à 94.03 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0.3%.
Ils avaient auparavant oscillé entre 94.61 USD, leur meilleur cours du jour, et 93.94 USD, leur pire.
La veille les avait vus culminer à 94.9 USD, leur plus haut niveau depuis le 15 mai, après que le département d'état américain à l'énergie ait déclaré dans son dernier rapport que les réserves de pétrole nationales avaient subi la semaine dernière une hémorrhagie dépassant les attentes avec 3.7 millions de barils, pour en totaliser 366.2 millions, et se retrouver à leur niveau le plus bas en quatre mois.
Il a en effet été montré mercredi que la production industrielle des Etats-Unis avait davantage augmenté en juillet qu'il n'évait été espéré.
Une autre étude avait signalé auparavant que les ventes auprès des particuliers américains avaient bondi de 0.8% en juillet, dépassant largement les 0.3% espérés, et mettant fin à quatre mois de vaches maigres, étouffant du même coup les attentes d'injections de capitaux de la part de la banque centrale américaine.
Mais la prudence demeurait toutefois de mise après que d'autres informations révélées le même jour aient fait savoir que le baromètre de l'activité des usines dans la région de New York avait fléchi en août pour la première fois depuis octobre 2011.
De nombreux autres résultats concernant les Etats-Unis étaient encore attendus aujourd'hui, et devraient permettre de préciser l'état de santé de leur économie, afin d'évaluer le besoin ou non de nouveaux coups de pouce.
Les autorités du pays comptaient donc annoncer de leur côté cet après-midi le nombre des permis de construire qu'elles ont accordés, et fourniront leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage, sans oublier celui des lancements de chantiers et une étude sur l'activité manufacturière dans la région de Philadelphie.
Le pays garde sa première part dans demande mondiale, avec près de 22%.
Mais les cours ont retrouvé le sourire après que Wen Jiabao, premier ministre chinois, ait déclaré hier soir que le ralentissemeent de l'inflation "fournissait davantage de marge de manoeuvre concernant la politique monétaire" afin de donner un coup de fouet à la seconde économie mondiale.
Les rumeurs selon lesquelles les autorités de Pékin procèderaient à une nouvelle diminution des quotas prudentiels imposés aux banques ou des taux d'intérêt ont donc enflé, les prix nationaux ayant connu en juillet leur plus faible augmentation des trente derniers mois.
La Banque Populaire de Chine a déjà par deux fois agi de la sorte sur chacun de ces leviers cette année, afin d'encourager les prêts et la croissance.
Les besoin en or noir nationaux ne sont en effet seconds que derrière ceux des Etats-Unis.
L'aggravation renouvelée des violences en Syrie et la résurgence de l'envenimement des relations entre l'Iran et l'Occident sont aussi allées dans le même sens.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour octobre ont laissé échapper 0.25% pour s'établir à 114 USD du baril dans le même temps, soit 18.52 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Elles avaient établi hier un pic à 114.77 USD, leur valeur la plus forte depuis le 4 mai.
Leurs cours, établis à Londres, se sont eux aussi trouvés tirés vers le haut ces dernières semaines, avec une envolée de près de 20% depuis leurs ornières de juin, en raison de la peur d'une diminution des livraisons provenant de la Mer du Nord, et du renforcement des sanctions imposées contre l'Iran depuis le premier juillet.