Investing.com - L'euro a glissé à son plus bas niveau journalier face au dollar U.S. ce mercredi matin, après que des résultats décevants de la part de l'Allemagne aient aggravé les craintes concernant les conséquences économiques de la crise de la dette de la zone euro.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1.2966 en début de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.2969, perdant 0.13%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.2889, son plancher du 15 octobre, et de rencontrer de la résistance à 1.3074, son plafond d'hier.
L'indice immédiat des directeurs des achats manufacturiers de l'Allemagne est en effet descendu de 47.4 jusqu'à 45.7 pour octobre, au lieu de remonter à 48 comme espéré.
Celui de la France a par contre redressé la barre de 42.7 vers 43.5 dans le même temps, sans toutefois atteindre les 44 envisagés.
La monnaie unique avait pourtant retrouvé des couleurs après qu'il ait été montré à l'aube que le baromètre établi sur le même sujet par HSBC pour la Chine était remonté de 47.9 vers 49.1 sur une période identique.
La devise européenne a par ailleurs cédé du terrain à la livre sterling et au yen, l'EUR/GBP fléchissant de 0.28% pour chuter à 0.8115 et l'EUR/JPY glissant de 0.22% pour déraper à 103.47.
La Réserve Fédérale fera connaître en fin de journée son taux d'intérêt directeur et dévoilera son texte explicatif sur la question pour la première fois depuis l'annonce le mois dernier de nouvelles injections de liquidités, tandis que les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure avec les chiffres des ventes de logements neufs.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1.2966 en début de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.2969, perdant 0.13%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.2889, son plancher du 15 octobre, et de rencontrer de la résistance à 1.3074, son plafond d'hier.
L'indice immédiat des directeurs des achats manufacturiers de l'Allemagne est en effet descendu de 47.4 jusqu'à 45.7 pour octobre, au lieu de remonter à 48 comme espéré.
Celui de la France a par contre redressé la barre de 42.7 vers 43.5 dans le même temps, sans toutefois atteindre les 44 envisagés.
La monnaie unique avait pourtant retrouvé des couleurs après qu'il ait été montré à l'aube que le baromètre établi sur le même sujet par HSBC pour la Chine était remonté de 47.9 vers 49.1 sur une période identique.
La devise européenne a par ailleurs cédé du terrain à la livre sterling et au yen, l'EUR/GBP fléchissant de 0.28% pour chuter à 0.8115 et l'EUR/JPY glissant de 0.22% pour déraper à 103.47.
La Réserve Fédérale fera connaître en fin de journée son taux d'intérêt directeur et dévoilera son texte explicatif sur la question pour la première fois depuis l'annonce le mois dernier de nouvelles injections de liquidités, tandis que les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure avec les chiffres des ventes de logements neufs.