Investing.com - L'euro s'est rapproché d'un creux de six semaines face au dollar U.S. ce jeudi matin, après qu'il ait été déploré hier que le premier trimestre ait été le sixième d'affilée où l'économie de la région où il a cours avait subi une contraction.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1,2857 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,2865, perdant 0,17%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,2808, son plancher du 2 avril, et de rencontrer de la résistance à 1,2888, son plafond journalier.
Il avait en effet été montré la veille que l'économie du bloc ayant adopté la monnaie unique avait reculé de 0,2% lors des trois premiers mois de l'année, soit 0,9% annualisés.
Celle de l'Allemagne n'a pour sa part frémi que de 0,1% au lieu des 0,3% espérés et celle de la France a aussi déçu avec un passage à vide de 0,2%.
Ces médiocres performances ont du coup ravivé les espoirs d'accommodements supplémentaires de la part de la Banque Centrale Européenne, bien que celle-ci ait déjà raboté en début de mois son taux directeur jusqu'à 0,5%, sa plus basse valeur de tous les temps.
Il était aussi à noter que la production industrielle des Etats-Unis avait flanché de 0,5% le mois passé, à la place des 0,2% déjà redoutés, étouffant les rumeurs farfelues selon lesquelles la Réserve Fédérale pourrait mettre prématurément fin à son programme d'acquisitions d'actifs dès cette année.
La monnaie européenne a par ailleurs bien résisté à la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0,03% pour reprendre pied à 0,8455, mais un peu moins au yen, l'EUR/JPY glissant de 0,09% pour déraper à 131,65.
On pouvait cependant remarquer que l'économie japonaise avait bondi de 0,9% entre début janvier et fin mars, dépassant ainsi les 0,7% envisagés.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1,2857 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,2865, perdant 0,17%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,2808, son plancher du 2 avril, et de rencontrer de la résistance à 1,2888, son plafond journalier.
Il avait en effet été montré la veille que l'économie du bloc ayant adopté la monnaie unique avait reculé de 0,2% lors des trois premiers mois de l'année, soit 0,9% annualisés.
Celle de l'Allemagne n'a pour sa part frémi que de 0,1% au lieu des 0,3% espérés et celle de la France a aussi déçu avec un passage à vide de 0,2%.
Ces médiocres performances ont du coup ravivé les espoirs d'accommodements supplémentaires de la part de la Banque Centrale Européenne, bien que celle-ci ait déjà raboté en début de mois son taux directeur jusqu'à 0,5%, sa plus basse valeur de tous les temps.
Il était aussi à noter que la production industrielle des Etats-Unis avait flanché de 0,5% le mois passé, à la place des 0,2% déjà redoutés, étouffant les rumeurs farfelues selon lesquelles la Réserve Fédérale pourrait mettre prématurément fin à son programme d'acquisitions d'actifs dès cette année.
La monnaie européenne a par ailleurs bien résisté à la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0,03% pour reprendre pied à 0,8455, mais un peu moins au yen, l'EUR/JPY glissant de 0,09% pour déraper à 131,65.
On pouvait cependant remarquer que l'économie japonaise avait bondi de 0,9% entre début janvier et fin mars, dépassant ainsi les 0,7% envisagés.