Investing.com - Le dollar U.S. était en forme face à la plupart de ses concurrents ce lundi, les résultats modérément positifs sur le front de l'emploi des Etats-Unis ayant suggéré lors de la journée de cotation précédente que leur économie prolongeait sa relance.
En fin de première partie de séance européenne, le yen a sombré devant lui, l'USD/JPY bondissant de 1,23% pour s'élever à 98,71.
Le département d'état au travail américain avait en effet constaté vendredi 175.000 créations de postes, dépassant légèrement les 170.000 attendus par les experts, alors que le taux de chômage frémissait par contre de 7,5 vers 7,6% dans le même temps.
Ces chiffres laissaient espérer une poursuite de la relance nationale, sans toutefois justifier de diminution des 85 milliards d'USD d'injections de liquidités de la part de la Réserve Fédérale.
Il avait été montré à l'aube que l'économie japonaise avait connu une expansion de 1,0% au premier trimestre, au lieu des 0,9% évalués auparavant.
Le pays présentant aussi pour avril un surplus de son compte courant sépassant les prévisions, l'affaiblissement de la monnaie de l'archipel ayant augmenté la valeur des investissements à l'étranger.
L'euro a par contre à peine fléchi contre lui, l'EUR/USD trébuchant de 0,04% pour tomber à 1,3216.
L'institut de recherches économiques Sentix a aussi fait savoir dans la matinée que son baromètre de la confiance dans le bloc ayant adopté la monnaie unique était remonté depuis -15,6 vers -11,6 pour juin, réalisant sa seconde amélioration mensuelle consécutive, imputable à la baisse des taux de la Banque Centrale Européenne et à la formation d'un nouveau gouvernement en Italie.
La livre sterling et le franc suisse ont aussi subi sa pression, GBP/USD glissant de 0,14% pour chuter à 1,5528 et l'USD/CHF grignotant 0,12% pour culminer à 0,9368.
Les autorités helvètes avaient précédemment annoncé que les ventes au détail avaient augmenté en avril de 3,3% d'une année sur l'autre, après avoir subi une érosion de 0,8%, dépassant largement les 2,4% anticipés.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé sa cousine australienne, mais pas la néo-zélandaise, ni la canadienne, l'AUD/USD cédant 0,55% pour se retrouver à 0,9437, le NZD/USD arrachant 0,11% pour culminer à 0,7885 et l'USD/CAD perdant 0,05% pour monter à 1,0190.
La première s'est retrouvée sur la sellette après que des informations gouvernementales aient laissé craindre en fin de semaine que la relance chinoise perdrait son souffle.
La production industrielle de la Chine a ainsi moins augmenté en mai qu'espéré, tandis que les exportations réalisaient leur avancée la plus faible en près d'un an, et que les importations diminuaient sans crier gare, mettant en relief un possible coup de frein à la demande locale.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,27% pour se situer à 82,15.
En fin de première partie de séance européenne, le yen a sombré devant lui, l'USD/JPY bondissant de 1,23% pour s'élever à 98,71.
Le département d'état au travail américain avait en effet constaté vendredi 175.000 créations de postes, dépassant légèrement les 170.000 attendus par les experts, alors que le taux de chômage frémissait par contre de 7,5 vers 7,6% dans le même temps.
Ces chiffres laissaient espérer une poursuite de la relance nationale, sans toutefois justifier de diminution des 85 milliards d'USD d'injections de liquidités de la part de la Réserve Fédérale.
Il avait été montré à l'aube que l'économie japonaise avait connu une expansion de 1,0% au premier trimestre, au lieu des 0,9% évalués auparavant.
Le pays présentant aussi pour avril un surplus de son compte courant sépassant les prévisions, l'affaiblissement de la monnaie de l'archipel ayant augmenté la valeur des investissements à l'étranger.
L'euro a par contre à peine fléchi contre lui, l'EUR/USD trébuchant de 0,04% pour tomber à 1,3216.
L'institut de recherches économiques Sentix a aussi fait savoir dans la matinée que son baromètre de la confiance dans le bloc ayant adopté la monnaie unique était remonté depuis -15,6 vers -11,6 pour juin, réalisant sa seconde amélioration mensuelle consécutive, imputable à la baisse des taux de la Banque Centrale Européenne et à la formation d'un nouveau gouvernement en Italie.
La livre sterling et le franc suisse ont aussi subi sa pression, GBP/USD glissant de 0,14% pour chuter à 1,5528 et l'USD/CHF grignotant 0,12% pour culminer à 0,9368.
Les autorités helvètes avaient précédemment annoncé que les ventes au détail avaient augmenté en avril de 3,3% d'une année sur l'autre, après avoir subi une érosion de 0,8%, dépassant largement les 2,4% anticipés.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé sa cousine australienne, mais pas la néo-zélandaise, ni la canadienne, l'AUD/USD cédant 0,55% pour se retrouver à 0,9437, le NZD/USD arrachant 0,11% pour culminer à 0,7885 et l'USD/CAD perdant 0,05% pour monter à 1,0190.
La première s'est retrouvée sur la sellette après que des informations gouvernementales aient laissé craindre en fin de semaine que la relance chinoise perdrait son souffle.
La production industrielle de la Chine a ainsi moins augmenté en mai qu'espéré, tandis que les exportations réalisaient leur avancée la plus faible en près d'un an, et que les importations diminuaient sans crier gare, mettant en relief un possible coup de frein à la demande locale.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,27% pour se situer à 82,15.