Investing.com - Le dollar U.S. n'a pas flanché face à la plupart de ses concurrents ce mercredi matin, sur fond de rumeurs selon lesquelles son émettrice pourrait mettre un léger frein à ses injections de liquidités en conclusion de la prise de position qu'elle effectuera sous peu.
En première partie de séance européenne, il a peine fléchi devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,02% pour se retrouver à 99,12.
L'attention se concentrait désormais sur la prise de cap imminente de la Réserve Fédérale, alors qu'il se disait qu'elle compterait mettre un léger frein à ses 85 milliards d'USD d'injections de capitaux mensuelles.
Mais les récentes contre-performances constatées par les Etats-Unis, notamment sur le front de l'emploi, ont contribué à revoir à la baisse les probabilités qu'elle procède à une telle manoeuvre.
Il n'en allait pas de même avec l'euro, l'EUR/USD trébuchant de 0,04% pour reprendre pied à 1,3352.
La monnaie unique gardait cependant du mordant après qu'il ait été montré hier que le oral économique de l'Allemagne avait atteint ce mois-ci son meilleur niveau depuis avril 2010, sur fond de perspectives régionales en bonne voie.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,09% pour se hisser à 1,5919, aux abords d'un pic de huit mois.
Il a d'autre part fait mieux que résister à la pression du franc suisse, l'USD/CHF frémissant de 0,03% pour s'élever à 0,9262.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,09% pour monter à 0,9363, le NZD/USD engrangeant 0,01% pour culminer à 0,8240 et l'USD/CAD régressant de 0,03% pour aller vers 1,0262.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,02% pour se situer à 81,29.
Les autorités des Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec l'annonce du nombre des permis de construire qu'elles auront accordés, ainsi que de celui des chantiers entamés.
En première partie de séance européenne, il a peine fléchi devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,02% pour se retrouver à 99,12.
L'attention se concentrait désormais sur la prise de cap imminente de la Réserve Fédérale, alors qu'il se disait qu'elle compterait mettre un léger frein à ses 85 milliards d'USD d'injections de capitaux mensuelles.
Mais les récentes contre-performances constatées par les Etats-Unis, notamment sur le front de l'emploi, ont contribué à revoir à la baisse les probabilités qu'elle procède à une telle manoeuvre.
Il n'en allait pas de même avec l'euro, l'EUR/USD trébuchant de 0,04% pour reprendre pied à 1,3352.
La monnaie unique gardait cependant du mordant après qu'il ait été montré hier que le oral économique de l'Allemagne avait atteint ce mois-ci son meilleur niveau depuis avril 2010, sur fond de perspectives régionales en bonne voie.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,09% pour se hisser à 1,5919, aux abords d'un pic de huit mois.
Il a d'autre part fait mieux que résister à la pression du franc suisse, l'USD/CHF frémissant de 0,03% pour s'élever à 0,9262.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,09% pour monter à 0,9363, le NZD/USD engrangeant 0,01% pour culminer à 0,8240 et l'USD/CAD régressant de 0,03% pour aller vers 1,0262.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,02% pour se situer à 81,29.
Les autorités des Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec l'annonce du nombre des permis de construire qu'elles auront accordés, ainsi que de celui des chantiers entamés.