En entrevue avec Reuters, le banquier central a dit que des politiques alternatives, en principe, « ne seraient pas nécessaires si l’objectif de la stabilité de prix … peut être atteint à travers des mesures classiques. »
De plus, des preuves s’accumulent que les réductions de taux antérieures commencent à avoir un réel impact sur l’économie, dit-il. En revanche, les politiques non classiques peuvent se montrer difficiles à créer et à mettre en vigueur.
Bonello a aussi dit que les gouvernements pourraient créer des effets stimulants en encourageant la capitalisation des établissements financiers et en les aidant à retirer les actifs toxiques de leur bilan.
Ses propos arrivent huit jours après la réduction des taux de la BCE à 1,50 %. Lors de son annonce, la banque a dit que les politiques alternatives avaient été discutées, mais le président de la BCE Jean-Claude Trichet n’avait pas voulu se prononcer sur le sujet.
Par Erik Kevin Franco, efranco@economicnews.ca, révisé par Stephen Huebl, shuebl@economicnews.ca, traduit par Dominique Blain, dblain@economicnews.ca
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