A la suite de la décision de la BCE de monter ses taux directeurs, tout en signalant que cette hausse était sûrement la dernière, le marché obligataire s’est empressé d’anticiper le besoin d’une baisse plus rapidement que prévu en 2024. L’idée est sûrement que cette hausse supplémentaire pourrait venir dégrader davantage la croissance, nécessitant un assouplissement monétaire, alors que l’inflation montrerait des signes de fléchissement.