Les analystes de Barclays (LON:BARC) continuent de porter un regard positif sur les actions de croissance, en particulier celles des États-Unis.
Leur rapport intitulé "Barclays Equity Factor Insights : June" indique une nette préférence pour les actions caractérisées par une forte croissance par rapport à celles évaluées pour leur prix inférieur sur le marché américain. Cette préférence s'explique par la plus forte croissance des bénéfices observée dans les entreprises associées à la catégorie "croissance".
Bien que les actions évaluées en fonction de leur prix inférieur se soient mieux comportées en mai, Barclays considère que cette performance est de courte durée. Elle suggère que cela pourrait être dû à des prévisions financières plus faibles que prévu de la part de quelques entreprises de la catégorie "croissance".
Le rapport souligne en outre une préférence pour les actions à forte capitalisation boursière aux États-Unis. Barclays justifie cela en soulignant que ces sociétés sont associées à des attributs de haute qualité et à une forte croissance des ventes/bénéfices par action, ce que Barclays soutient. En outre, elle note que l'augmentation des coûts d'emprunt pourrait avoir un effet plus important sur les petites entreprises dont les niveaux d'endettement sont plus élevés.
Si l'on considère le marché européen, la perspective change. Barclays maintient une position neutre sur les actions évaluées pour leur prix inférieur sur les marchés américain et européen, mais identifie un potentiel dans les petites entreprises européennes.
En ce qui concerne les préférences en matière de capitalisation boursière, la société déclare : "Aux États-Unis, nous continuons à privilégier les actions à forte capitalisation boursière par rapport à celles à faible capitalisation boursière, tandis qu'en Europe, notre préférence va davantage aux sociétés à faible capitalisation boursière".
Cette préférence s'explique probablement par les ratios cours/bénéfice historiquement bas de ces petites sociétés européennes et par l'anticipation d'une réduction des coûts d'emprunt dans la seconde moitié de l'année, ce qui serait plus avantageux pour les petites entreprises que pour les grandes.
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