Ulric de Varens a accusé un repli de 15% de ses ventes en glissement annuel au quatrième trimestre à 8,3 millions d'euros.
Sur l'ensemble de l'exercice, le chiffre d'affaires du groupe a diminué de 3% par rapport à 2013 à 25 millions d'euros.
Le contexte économique difficile en France a lourdement pesé sur les trois derniers mois avec des revenus qui ont chuté de 25,5% à un peu plus de 2,6 millions d'euros sur le marché domestique. Ils ont baissé de 13,8% sur l'année (-6,7% en comparable) en raison à la fois de retours coffrets 2013 non prévus, de commandes coffrets 2014 axées sur les petits prix uniquement et d'une réduction du nombre de boutiques (quatre en 2013, contre une en 2014).
Représentant plus des trois quarts de l'activité du groupe, les ventes à l'international ont pour leur part reculé de 9,1% sur le quatrième trimestre, mais affichent une croissance de 1% sur l'année, ce en dépit du fort déclin des marchés russes et ukrainiens.
La bonne maîtrise de ses coûts permet cependant à Ulric de Varens de confirmer son retour à la profitabilité sur l'exercice 2014. Concernant 2015, le groupe a fait savoir qu'il s'appuiera sur une progression générale de ses ventes ainsi que sur la poursuite de sa politique de maîtrise des charges afin de maintenir la croissance de son résultat.
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Sur l'ensemble de l'exercice, le chiffre d'affaires du groupe a diminué de 3% par rapport à 2013 à 25 millions d'euros.
Le contexte économique difficile en France a lourdement pesé sur les trois derniers mois avec des revenus qui ont chuté de 25,5% à un peu plus de 2,6 millions d'euros sur le marché domestique. Ils ont baissé de 13,8% sur l'année (-6,7% en comparable) en raison à la fois de retours coffrets 2013 non prévus, de commandes coffrets 2014 axées sur les petits prix uniquement et d'une réduction du nombre de boutiques (quatre en 2013, contre une en 2014).
Représentant plus des trois quarts de l'activité du groupe, les ventes à l'international ont pour leur part reculé de 9,1% sur le quatrième trimestre, mais affichent une croissance de 1% sur l'année, ce en dépit du fort déclin des marchés russes et ukrainiens.
La bonne maîtrise de ses coûts permet cependant à Ulric de Varens de confirmer son retour à la profitabilité sur l'exercice 2014. Concernant 2015, le groupe a fait savoir qu'il s'appuiera sur une progression générale de ses ventes ainsi que sur la poursuite de sa politique de maîtrise des charges afin de maintenir la croissance de son résultat.
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