Investing.com - La livre sterling s'est extirpée de son ornière journalière face au dollar U.S. ce mardi, après qu'il ait été constaté que la production des usines britanniques avait moins diminué en avril qu'il n'avait été craint, tandis que celle des industries frémissait.
La paire GBP/USD est remontée depuis 1,5533, son cours le plus bas du jour, jusqu'à 1,5555 en première partie de séance européenne, perdant 0,9%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5493, son plancher de lundi, et de rencontrer de la résistance à 1,5617, son plafond de vendredi.
Le bureau des statistiques du Royaume-Uni a en effet annoncé que l'activité manufacturière nationale avait subi un repli de 0,2% en avril, au lieu des 0,3% redoutés.
Elle a cependant subi une érosion de 0,5% d'une année sur l'autre, au lieu des 0,4% envisagés.
Son équivalent pour le secteur secondaire entier a par contre connu sa troisième embellie d'affilée dans le même temps, avec 0,1% au lieu de la stagnation envisagée, dans le sillage des 0,7% d'amélioration de mars.
La question de l'éventuelle réduction dès cette année des apports de capitaux de la banque centrale américaine demeurait malgré tout au centre des débats.
Les rumeurs selon lesquelles la Réserve Fédérale réduirait bientôt le volume de ses injections de liquidités allaient bon train dans le sillage des résultats modérément positifs du marché de l'emploi des Etats-Unis, ces derniers ayant aussi vu l'agence Standard & Poor's en revoir hier vers le haut les perspectives de notation à long terme, depuis la négativité vers la stabilité, invoquant l'amélioration de leur situation économique.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs cédé du terrain à l'euro, l'EUR/GBP grimpant de 0,31% pour se hisser à 0,8537.
La plus haute instance juridique allemande devrait pour sa part se pencher aujourd'hui sur la constitutionnalité du plan de rachats d'actifs de la Banque Centrale Européenne.
La paire GBP/USD est remontée depuis 1,5533, son cours le plus bas du jour, jusqu'à 1,5555 en première partie de séance européenne, perdant 0,9%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5493, son plancher de lundi, et de rencontrer de la résistance à 1,5617, son plafond de vendredi.
Le bureau des statistiques du Royaume-Uni a en effet annoncé que l'activité manufacturière nationale avait subi un repli de 0,2% en avril, au lieu des 0,3% redoutés.
Elle a cependant subi une érosion de 0,5% d'une année sur l'autre, au lieu des 0,4% envisagés.
Son équivalent pour le secteur secondaire entier a par contre connu sa troisième embellie d'affilée dans le même temps, avec 0,1% au lieu de la stagnation envisagée, dans le sillage des 0,7% d'amélioration de mars.
La question de l'éventuelle réduction dès cette année des apports de capitaux de la banque centrale américaine demeurait malgré tout au centre des débats.
Les rumeurs selon lesquelles la Réserve Fédérale réduirait bientôt le volume de ses injections de liquidités allaient bon train dans le sillage des résultats modérément positifs du marché de l'emploi des Etats-Unis, ces derniers ayant aussi vu l'agence Standard & Poor's en revoir hier vers le haut les perspectives de notation à long terme, depuis la négativité vers la stabilité, invoquant l'amélioration de leur situation économique.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs cédé du terrain à l'euro, l'EUR/GBP grimpant de 0,31% pour se hisser à 0,8537.
La plus haute instance juridique allemande devrait pour sa part se pencher aujourd'hui sur la constitutionnalité du plan de rachats d'actifs de la Banque Centrale Européenne.