Deutsche Telekom (DE:DTEGn) (+0,3%) a en marge de ses comptes du premier trimestre réaffirmé ses objectifs 2017 d'un free cash flow de 5,5 milliards d'euros et d'un Ebitda ajusté de 22,2 milliards.
Celui-ci est ressorti à 5,55 milliards d'euros au premier trimestre, en croissance de 7,5% sur un an grâce au marché américain - le marché domestique fait quant à lui du surplace - et supérieur à la prévision moyenne des analystes de 5,52 milliards.
En hausse de 5,8% comparativement aux 3 premiers mois de 2016, le chiffre d'affaires de l'opérateurs télécoms allemand s'est de son côté inscrit en progression de 5,8% à 18,65 milliards d'euros, en ligne avec l'estimation du consensus.
Le bénéfice net a en revanche reculé de 10,3% sur une base ajustée à 939 millions d'euros.
'Deutsche Telekom est confronté à un sacré dilemme. Alors que son activité ronronne en Allemagne, le groupe tire parti du dynamisme de T-Mobile US (NASDAQ:TMUS), qui vient chatouiller par son agressivité les 2 leaders AT&T (NYSE:T) et Verizon (NYSE:VZ). Toutefois, le groupe n'a toujours pas décidé de l'avenir de sa filiale au sein du groupe à terme, alors qu'il avait failli la vendre à Iliad (PA:ILD) il y a quelques années', ont commenté les équipes d'Aurel BGC, qui soulignent par ailleurs que 'DT' a une nouvelle fois déprécié la valeur de sa participation dans BT Group (LON:BT), cette fois à hauteur de 700 millions d'euros.
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Celui-ci est ressorti à 5,55 milliards d'euros au premier trimestre, en croissance de 7,5% sur un an grâce au marché américain - le marché domestique fait quant à lui du surplace - et supérieur à la prévision moyenne des analystes de 5,52 milliards.
En hausse de 5,8% comparativement aux 3 premiers mois de 2016, le chiffre d'affaires de l'opérateurs télécoms allemand s'est de son côté inscrit en progression de 5,8% à 18,65 milliards d'euros, en ligne avec l'estimation du consensus.
Le bénéfice net a en revanche reculé de 10,3% sur une base ajustée à 939 millions d'euros.
'Deutsche Telekom est confronté à un sacré dilemme. Alors que son activité ronronne en Allemagne, le groupe tire parti du dynamisme de T-Mobile US (NASDAQ:TMUS), qui vient chatouiller par son agressivité les 2 leaders AT&T (NYSE:T) et Verizon (NYSE:VZ). Toutefois, le groupe n'a toujours pas décidé de l'avenir de sa filiale au sein du groupe à terme, alors qu'il avait failli la vendre à Iliad (PA:ILD) il y a quelques années', ont commenté les équipes d'Aurel BGC, qui soulignent par ailleurs que 'DT' a une nouvelle fois déprécié la valeur de sa participation dans BT Group (LON:BT), cette fois à hauteur de 700 millions d'euros.
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