Investing.com - Les bourses européennes étaient mitigées ce mercredi, les observateurs demeurant angoissés par la crise de la dette en zone euro à l'orée d'une série de mises aux enchères d'obligations italiennes devant débuter dans la journée.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a grignoté 0.03%, et le CAC 40 français 0.37%, tandis que le DAX 30 allemand reculait de 0.42%.
Les places britanniques reprenaient leur activité après un pont, mais de nombreux acteurs des marchés demeuraient en vacances de fin d'année, contribuant à affaiblir le volume des échanges, et entraînant des transactions peu fournies.
L'Italie a prévu d'émettre de son côté pour 9 milliards d'euros de bons à 179 jours et 2.5 milliards d'euros de titres sans coupons pour 2013 dans la journée.
Les investisseurs demeuraient sur leurs gardes, les taux des obligations décennales du pays s'étant maintenus dans l'attente de cet évènement aux alentours du seuil crucial des 7%, largement considéré comme intenable à long terme et au-delà duquel d'autres membres de la zone euro ont dû avoir recours à des plans de sauvetage.
La finance coiffait le bonnet d'âne, la Deutsche Bank allemande s'effondrant de 2.2%, et le prêteur néerlandais ING Groep de 1.95%, tandis que les français Société Générale et BNP Paribas limmitaientt les dégâts à respectivement 1.95 et 1.87%.
Ceux de la périphérie ont également subi ce contrecoup, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit dévissant de 1.14 et 0.2%, les espagnols BBVA et Banco Santander n'étant pas en reste avec 0.76 et 0.55%.
Le grand distributeur français Carrefour a pour sa part laissé échapper 0.29% après avoir vendu pour ensuite louer avec option d'achat 97 supermarchés dans le pays.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.28%, et ce malgré les pertes essuyées par le secteur minier.
Les mastodontes de ce domaine que sont Rio Tinto et BHP Billiton fondant de 1.19 et 0.83%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys coulant pour leur part de 2.14 et 1.13%.
Les actions financières n'étaient guère mieux loties, Lloyds Banking sombrant de 1.56%, la Royal Bank of Scotland de 1.02%, Barclays de 0.77% et HSBC Holdings de 0.38%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi incertaines: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.07%, celles sur le S&P 500 redoutant 0.02% de repli et celles sur le Nasdaq 100 escomptant grignoter 0.05%.
8.5 milliards de dettes italiennes à échéance en 2014, 2018, 2021 et 2022 doivent également être proposées demain.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a grignoté 0.03%, et le CAC 40 français 0.37%, tandis que le DAX 30 allemand reculait de 0.42%.
Les places britanniques reprenaient leur activité après un pont, mais de nombreux acteurs des marchés demeuraient en vacances de fin d'année, contribuant à affaiblir le volume des échanges, et entraînant des transactions peu fournies.
L'Italie a prévu d'émettre de son côté pour 9 milliards d'euros de bons à 179 jours et 2.5 milliards d'euros de titres sans coupons pour 2013 dans la journée.
Les investisseurs demeuraient sur leurs gardes, les taux des obligations décennales du pays s'étant maintenus dans l'attente de cet évènement aux alentours du seuil crucial des 7%, largement considéré comme intenable à long terme et au-delà duquel d'autres membres de la zone euro ont dû avoir recours à des plans de sauvetage.
La finance coiffait le bonnet d'âne, la Deutsche Bank allemande s'effondrant de 2.2%, et le prêteur néerlandais ING Groep de 1.95%, tandis que les français Société Générale et BNP Paribas limmitaientt les dégâts à respectivement 1.95 et 1.87%.
Ceux de la périphérie ont également subi ce contrecoup, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit dévissant de 1.14 et 0.2%, les espagnols BBVA et Banco Santander n'étant pas en reste avec 0.76 et 0.55%.
Le grand distributeur français Carrefour a pour sa part laissé échapper 0.29% après avoir vendu pour ensuite louer avec option d'achat 97 supermarchés dans le pays.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.28%, et ce malgré les pertes essuyées par le secteur minier.
Les mastodontes de ce domaine que sont Rio Tinto et BHP Billiton fondant de 1.19 et 0.83%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys coulant pour leur part de 2.14 et 1.13%.
Les actions financières n'étaient guère mieux loties, Lloyds Banking sombrant de 1.56%, la Royal Bank of Scotland de 1.02%, Barclays de 0.77% et HSBC Holdings de 0.38%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi incertaines: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.07%, celles sur le S&P 500 redoutant 0.02% de repli et celles sur le Nasdaq 100 escomptant grignoter 0.05%.
8.5 milliards de dettes italiennes à échéance en 2014, 2018, 2021 et 2022 doivent également être proposées demain.