Investing.com - Les bourses européennes étaient mitigées ce mardi, les craintes concernant les dettes de la région pesant sur le moral des investisseurs, alors que les options sur les indices des valeurs américaines pointaient vers une ouverture de Wall Street à la baisse.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a perdu 0.41% et le CAC 40 français 0.28%, mais le DAX allemand a gagné 0.3%.
La finance était globalement à la baisse, alors que planait l'angoisse d'une possible contagion par les problèmes de dette souveraine des membres les plus endettés de la zone euro, notamment le Portugal et l'Espagne.
BBVA, second prêteur de cette dernière, a dégringolé de 2.06%, son rival Banco Santander de 1.65% et la Société Générale, première pourvoyeuse de prêts de France, de 2.8%.
Leurs collègues britanniques ont également subi la tempête, la plupart étant largement exposés aux risques irlandais. Barclays, deuxième acteur national du secteur, s'enfonçant de 2.56%, le Lloyds Banking Group de 1.49% et la Royal Bank of Scotland de 2.61%.
La progression du DAX est survenue alors que Hochtief, plus importante société de construction d'Allemagne, engrangeait 2.77% après que l'autorité des marchés financiers du pays ait autorisé sa prise de contrôle par ACS, son équivalent espagnol, à hauteur de 2.7 milliards d'euros, ce dernier en possédant déjà 30%.
Du côté des rapports de résultats, Rémy Cointreau, dauphin français de la production d'alcool, a coulé de 3.22% après l'annonce de l'effondrement de 65% de ses bénéfices au premier semestre fiscal, ceux-ci se retrouvant à 14.1 millions d'euros, contre 39.8 millions l'année précédente.
A Londres, le FTSE, chargé de matière premières, a glissé de 0.32% alors que les cours des métaux et du pétrole régressaient suite à la remontée du dollar U.S. et aux rumeurs de durcissement monétaire chinois destiné à jugulé son inflation et sa croissance galopantes.
BHP Billiton, plus gros groupe minier mondial, a dérapé de 1.09%, le producteur de cuivre Kazakhmys de 1.78% et son concurrent Xstrata de 1.61%.
Les perspectives des marchés américains étaient pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.32%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.34% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.37%.
Les Etats-Unis ont prévu de divulguer dans la journée des informations provenant de spécialistes sur les prix des logements, ainsi que sur la confiance de leurs consommateurs, sans oublier un indice de l'activité de la région de Chicago, alors que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale, devrait prendre la parole au cours d'une conférence publique.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a perdu 0.41% et le CAC 40 français 0.28%, mais le DAX allemand a gagné 0.3%.
La finance était globalement à la baisse, alors que planait l'angoisse d'une possible contagion par les problèmes de dette souveraine des membres les plus endettés de la zone euro, notamment le Portugal et l'Espagne.
BBVA, second prêteur de cette dernière, a dégringolé de 2.06%, son rival Banco Santander de 1.65% et la Société Générale, première pourvoyeuse de prêts de France, de 2.8%.
Leurs collègues britanniques ont également subi la tempête, la plupart étant largement exposés aux risques irlandais. Barclays, deuxième acteur national du secteur, s'enfonçant de 2.56%, le Lloyds Banking Group de 1.49% et la Royal Bank of Scotland de 2.61%.
La progression du DAX est survenue alors que Hochtief, plus importante société de construction d'Allemagne, engrangeait 2.77% après que l'autorité des marchés financiers du pays ait autorisé sa prise de contrôle par ACS, son équivalent espagnol, à hauteur de 2.7 milliards d'euros, ce dernier en possédant déjà 30%.
Du côté des rapports de résultats, Rémy Cointreau, dauphin français de la production d'alcool, a coulé de 3.22% après l'annonce de l'effondrement de 65% de ses bénéfices au premier semestre fiscal, ceux-ci se retrouvant à 14.1 millions d'euros, contre 39.8 millions l'année précédente.
A Londres, le FTSE, chargé de matière premières, a glissé de 0.32% alors que les cours des métaux et du pétrole régressaient suite à la remontée du dollar U.S. et aux rumeurs de durcissement monétaire chinois destiné à jugulé son inflation et sa croissance galopantes.
BHP Billiton, plus gros groupe minier mondial, a dérapé de 1.09%, le producteur de cuivre Kazakhmys de 1.78% et son concurrent Xstrata de 1.61%.
Les perspectives des marchés américains étaient pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.32%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.34% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.37%.
Les Etats-Unis ont prévu de divulguer dans la journée des informations provenant de spécialistes sur les prix des logements, ainsi que sur la confiance de leurs consommateurs, sans oublier un indice de l'activité de la région de Chicago, alors que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale, devrait prendre la parole au cours d'une conférence publique.