Investing.com - L'euro était en forme face à la livre sterling ce mercredi, la crainte d'une éventuelle mise en place par la Banque d'Angleterre de nouveaux assouplissements monétaires afin de soutenir une économie chancelante continuant à tirer la seconde vers le bas.
La paire EUR/GBP est montée jusqu'à 1.0572 en début de seconde partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 0.8632, prenant 0.15%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.8532, son plancher de près de trois semaines datant d'hier, et de rencontrer de la résistance à 0.8685, son plafond du 13 septembre.
Les pertes de la monnaie du Royaume-Uni avaient été freinées ce matin par un rapport montrant une augmentation inattendue de l'activité tertiaire du pays.
L'indice des directeurs des achats du domaine tertiaire élaboré conjointement par le groupe de recherches économiques Markit et l'institut agréé des achats et fournitures CIPS est en effet remonté à 52.9 ajustés pour le mois, après avoir connu sa plus forte plongée mensuelle en dix ans vers 51.1 lors du précédent, et au lieu de régresser à 50.5 pour la période considérée comme prédit par les experts.
L'inquiétude concernant la solidité de l'économie britannique a toutefois été mise à mal par le bureau national des statistiques, faiisant savoir que la croissance nationale du second trimestre avait dû être ramenée à 0.1% sans crier gare.
Les spécialistes espéraient voir le produit intérieur brut gagner 0.2%.
Il a toutefois précisé que cette évolution n'était pas dûe à de nouveaux résultats, mais à de nouvelles méthodes de calcul.
La devise de la Grande-Bretagne s'est trouvée quelque peu boudée ces dernières semaines, en raison de l'hypothèse d'une éventuelle reprise par la banque centrale du pays de son programme d'achats d'actifs afin de soutenir une économie hésitante.
Elle a égalment perdu du terrain sur le dollar U.S. avec un couple GBP/USD cédant 0.21% pour tomber à 1.5454.
Un article du quotidien Financial Times a quand à lui signalé dans la matinée que les ministres des finances européens étudiaient une manière de coordonner la recapitalisation des banques du continent, après s'être mis d'accord sur le fait que ces dernières avaient effectivement besoin de davantage d'aide.
La paire EUR/GBP est montée jusqu'à 1.0572 en début de seconde partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 0.8632, prenant 0.15%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.8532, son plancher de près de trois semaines datant d'hier, et de rencontrer de la résistance à 0.8685, son plafond du 13 septembre.
Les pertes de la monnaie du Royaume-Uni avaient été freinées ce matin par un rapport montrant une augmentation inattendue de l'activité tertiaire du pays.
L'indice des directeurs des achats du domaine tertiaire élaboré conjointement par le groupe de recherches économiques Markit et l'institut agréé des achats et fournitures CIPS est en effet remonté à 52.9 ajustés pour le mois, après avoir connu sa plus forte plongée mensuelle en dix ans vers 51.1 lors du précédent, et au lieu de régresser à 50.5 pour la période considérée comme prédit par les experts.
L'inquiétude concernant la solidité de l'économie britannique a toutefois été mise à mal par le bureau national des statistiques, faiisant savoir que la croissance nationale du second trimestre avait dû être ramenée à 0.1% sans crier gare.
Les spécialistes espéraient voir le produit intérieur brut gagner 0.2%.
Il a toutefois précisé que cette évolution n'était pas dûe à de nouveaux résultats, mais à de nouvelles méthodes de calcul.
La devise de la Grande-Bretagne s'est trouvée quelque peu boudée ces dernières semaines, en raison de l'hypothèse d'une éventuelle reprise par la banque centrale du pays de son programme d'achats d'actifs afin de soutenir une économie hésitante.
Elle a égalment perdu du terrain sur le dollar U.S. avec un couple GBP/USD cédant 0.21% pour tomber à 1.5454.
Un article du quotidien Financial Times a quand à lui signalé dans la matinée que les ministres des finances européens étudiaient une manière de coordonner la recapitalisation des banques du continent, après s'être mis d'accord sur le fait que ces dernières avaient effectivement besoin de davantage d'aide.