Les premières vérifications menées par le gouvernement français sur une dizaine de véhicules après le scandale Volkwagen confirment la "tricherie" à laquelle s'est adonné le constructeur allemand, mais ne mettent pas en cause d'autres marques, a affirmé vendredi Ségolène Royal.
"Sur les 10 voitures que nous venons de contrôler, de toutes marques, on observe que sur Volkswagen (DE:VOWG) il y a un dépassement de 5 fois la valeur limite de la réglementation en oxydes d'azote, on a donc confirmation de la tricherie", a déclaré la ministre de l'Ecologie sur France Info, ajoutant que "sur les autres (véhicules testés) ce n'est pas le cas".