Investing.com - Les options sur le brut étaient sur la défensive pur la première fois en quatre jours ce lundi, abandonnant une partie de leur récente avancée sur fond d'hésitation à prolonger la forte ascension de la fin de semaine.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juillet se sont échangés à 95,78 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0,5%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 95,77 USD, leur cours le plus bas du jour, avec un passage à vide de 0,6%.
La journée de vendredi les avait pourtant vus culminer à un sommet hebdomadaire de 96,42 USD, après qu'il ait été montré vendredi que le moral des consommateurs américains avait fait pour mai la bonne surprise de grimper vers un sommet près de six ans.
L'université du Michigan a ainsi vu son baromètre de la confiance des particuliers bondir depuis 76,4 vers 83,7 pour ce mois-ci, son plus haut niveau depuis 2007, au lieu des 78,0 espérés.
Le groupe de recherches sur les marchés Conference Board a quand à lui constaté que son indice des signaux économiques prévisionnels avait grimpé de 0,6% en avril, soit le triple des 0,2% anticipés par les experts.
Le pays garde sa première part dans la demande globale, avec près de 22%.
Les yeux étaient désormais tournés vers la publication mercredi du procès-verbal de la dernière réunion d'orientation de la Réserve Fédérale, alors qu'enflaient les bruits affirmant que la Réserve Fédérale pourrait réduire dès cette année le volume de son programme d'acquisitions.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour juin ont cédé 0,2% pour glisser à 104,41 USD du baril dans le même temps, soit 8,63 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Leur écart avait fondu ces dernières semaines jusqu'à être le plus faible depuis janvier 2011, en raison de l'augmentation des perspectives de production en Mer du Nord, et des signes de réduction des stocks du terminal de Cushing, dans l'état de l'Oklahoma, où ont lieu les livraisons Nymex.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juillet se sont échangés à 95,78 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0,5%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 95,77 USD, leur cours le plus bas du jour, avec un passage à vide de 0,6%.
La journée de vendredi les avait pourtant vus culminer à un sommet hebdomadaire de 96,42 USD, après qu'il ait été montré vendredi que le moral des consommateurs américains avait fait pour mai la bonne surprise de grimper vers un sommet près de six ans.
L'université du Michigan a ainsi vu son baromètre de la confiance des particuliers bondir depuis 76,4 vers 83,7 pour ce mois-ci, son plus haut niveau depuis 2007, au lieu des 78,0 espérés.
Le groupe de recherches sur les marchés Conference Board a quand à lui constaté que son indice des signaux économiques prévisionnels avait grimpé de 0,6% en avril, soit le triple des 0,2% anticipés par les experts.
Le pays garde sa première part dans la demande globale, avec près de 22%.
Les yeux étaient désormais tournés vers la publication mercredi du procès-verbal de la dernière réunion d'orientation de la Réserve Fédérale, alors qu'enflaient les bruits affirmant que la Réserve Fédérale pourrait réduire dès cette année le volume de son programme d'acquisitions.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour juin ont cédé 0,2% pour glisser à 104,41 USD du baril dans le même temps, soit 8,63 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Leur écart avait fondu ces dernières semaines jusqu'à être le plus faible depuis janvier 2011, en raison de l'augmentation des perspectives de production en Mer du Nord, et des signes de réduction des stocks du terminal de Cushing, dans l'état de l'Oklahoma, où ont lieu les livraisons Nymex.