Investing.com - Les bourses européennes étaient en recul ce mardi, alors que les investisseurs restaient prudents après que le ministre des finances allemand ait douché l'enthousiasme concernant le nouveau plan de lutte contre la crise de la dette de la zone euro.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a plongé de 1.29%, le CAC 40 français de 1.87%, et le DAX 30 allemand de 0.59%.
Le moral des observateurs s'est trouvé affecté par Wolfgang Schaeuble ait déclaré hier que la prochaine réunion des dirigeants de l'Union Européenne du 23 octobre n'apporterait pas de "solution définitive" au problème du surendettement régional.
l'agence Moody's Investor Services a qui plus est émis pour la France un préavis de trois mois selon lequel "la pression des mauvais indicateurs de l'endettement" pourrait placer le pays sous une perspective négative et ainsi tirer sa notation monétaire vers le bas.
La finance française s'en est retrouvée sur la sellette, BNP Paribas s'effondrant de 6.46%, la Société Générale de 3.52%, le Crédit Agricole de 2.87% et la Deutsche Bank allemande suivant le mouvement de 1.19%.
La banque franco-belge Dexia, subissant de graves difficultés, a dégringolé de 12.63% jusqu'à 50.5 centimes d'euro, son plus bas niveau de tous les temps, après que la Commission Européenne ait lancé une enquête en profondeur concernant la prise de contrôle belge des agences locales.
Les fournisseurs d'énergie n'ont pas été épargnés, suite à la publication de chiffres montrant un ralentissement de la croissance chinoise. Le groupe français GDF Suez a ainsi laissé échapper 4.3%, son compatriote Total 1.38%, la firme allemande RWE AG 2.06% et l'espagnole Inderbrola 1.21%.
La compagnie aérienne Air France-KLM a par ailleurs piqué de 5.17% suite à l'annonce hier de la démission de Pierre-Henri Gourgeon, son directeur général, en affirmant vouloir "améliorer les performaces opérationnelles et financières dans un contexte de trafic aérien européen incertain".
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a fléchi de 1.1%, tiré vers le bas par la capitulation des actions énergétiques et des cours des produits bruts.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton ont respectivement fondu de 3.63 et 2.16%, alors que British Petroleum se trouvait parmi les meilleurs élèves, engrangeant 1.48%.
Les cuivriers n'ont pas contribué à redresser la barre, Kazakhmys et Xstrata perdant pour leur part 1.89 et 2.54%.
Les prêteurs de Grande-Bretagne ont eux aussi suivi le chemin tracé par leurs homologues continentaux, la Royal Bank of Scotland cédant 0.66%, Lloyds Banking 0.56%, HSBC Holdings 1.47% et Barclays 2.74%.
Les options sur les valeurs américaines pointaient quand à elles vers une ouverture mitigée, celles sur le Dow Jones indiquant 0.28% de moins, et celles sur le S&P 500 0.2%, tandis que celles sur le Nasdaq 100 arrachaient toutefois 0.29%.
Dans son rapport, le centre de recherches économiques ZEW avait pour sa part indiqué dans la matinée que son indice du moral économique allemand était tombé à -48.3 pour le mois, son pire niveau depuis novembre 2008, contre -43.3 lors du précédent.
Les experts ne s'étaient pourtant pas attendus à le voir régresser au-dessous de -45 pour la période considérée.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a plongé de 1.29%, le CAC 40 français de 1.87%, et le DAX 30 allemand de 0.59%.
Le moral des observateurs s'est trouvé affecté par Wolfgang Schaeuble ait déclaré hier que la prochaine réunion des dirigeants de l'Union Européenne du 23 octobre n'apporterait pas de "solution définitive" au problème du surendettement régional.
l'agence Moody's Investor Services a qui plus est émis pour la France un préavis de trois mois selon lequel "la pression des mauvais indicateurs de l'endettement" pourrait placer le pays sous une perspective négative et ainsi tirer sa notation monétaire vers le bas.
La finance française s'en est retrouvée sur la sellette, BNP Paribas s'effondrant de 6.46%, la Société Générale de 3.52%, le Crédit Agricole de 2.87% et la Deutsche Bank allemande suivant le mouvement de 1.19%.
La banque franco-belge Dexia, subissant de graves difficultés, a dégringolé de 12.63% jusqu'à 50.5 centimes d'euro, son plus bas niveau de tous les temps, après que la Commission Européenne ait lancé une enquête en profondeur concernant la prise de contrôle belge des agences locales.
Les fournisseurs d'énergie n'ont pas été épargnés, suite à la publication de chiffres montrant un ralentissement de la croissance chinoise. Le groupe français GDF Suez a ainsi laissé échapper 4.3%, son compatriote Total 1.38%, la firme allemande RWE AG 2.06% et l'espagnole Inderbrola 1.21%.
La compagnie aérienne Air France-KLM a par ailleurs piqué de 5.17% suite à l'annonce hier de la démission de Pierre-Henri Gourgeon, son directeur général, en affirmant vouloir "améliorer les performaces opérationnelles et financières dans un contexte de trafic aérien européen incertain".
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a fléchi de 1.1%, tiré vers le bas par la capitulation des actions énergétiques et des cours des produits bruts.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton ont respectivement fondu de 3.63 et 2.16%, alors que British Petroleum se trouvait parmi les meilleurs élèves, engrangeant 1.48%.
Les cuivriers n'ont pas contribué à redresser la barre, Kazakhmys et Xstrata perdant pour leur part 1.89 et 2.54%.
Les prêteurs de Grande-Bretagne ont eux aussi suivi le chemin tracé par leurs homologues continentaux, la Royal Bank of Scotland cédant 0.66%, Lloyds Banking 0.56%, HSBC Holdings 1.47% et Barclays 2.74%.
Les options sur les valeurs américaines pointaient quand à elles vers une ouverture mitigée, celles sur le Dow Jones indiquant 0.28% de moins, et celles sur le S&P 500 0.2%, tandis que celles sur le Nasdaq 100 arrachaient toutefois 0.29%.
Dans son rapport, le centre de recherches économiques ZEW avait pour sa part indiqué dans la matinée que son indice du moral économique allemand était tombé à -48.3 pour le mois, son pire niveau depuis novembre 2008, contre -43.3 lors du précédent.
Les experts ne s'étaient pourtant pas attendus à le voir régresser au-dessous de -45 pour la période considérée.