Le bureau du procureur général russe réclame plus d'1 milliard d'euros (1,09 milliard de dollars) de dommages et intérêts à la compagnie énergétique mondiale Shell (AS:SHEL), selon l'agence de presse RIA. Cette action fait suite à une plainte déposée début octobre par le procureur général de Russie contre huit filiales de Shell. Ces unités avaient cessé leurs activités en Russie après le début du conflit entre Moscou et l'Ukraine en février 2022.
L'action en justice implique plusieurs entités du groupe Shell, dont Shell plc et Shell Energy Europe Limited, entre autres. Ces filiales étaient auparavant impliquées dans un projet de gaz naturel liquéfié (GNL) sur l'île de Sakhaline, une entreprise dirigée par Gazprom, une société sous contrôle du Kremlin.
Après le retrait de Shell du marché russe, Moscou a renforcé son emprise sur l'usine de GNL, qui est devenue un point de discorde, notamment dans le contexte des sanctions occidentales contre la Russie. L'audience du tribunal pour cette affaire est prévue le 11/12/2023.
Au moment de la rédaction de cet article, Shell n'a fait aucun commentaire concernant le procès. La demande de dommages et intérêts représente une exigence financière importante pour la multinationale, qui s'était retirée des activités commerciales en Russie en raison des tensions géopolitiques dans la région.
Reuters a contribué à cet article.
Cet article a été généré et traduit avec l'aide de l'IA et revu par un rédacteur. Pour plus d'informations, consultez nos T&C.