Investing.com - Les bourses européennes se sont nettement renforcées ce jeudi après-midi, grâce à de belles performances allemandes, et malgré l'ombre persistante des incertitudes concernant les orientations futures de la banque centrale des Etats-Unis.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,98%, le CAC 40 français de 0,69%, et le DAX 30 allemand de 0,94%.
L'Allemagne a en effet signalé une augmentation du solde positif de son commerce extérieur mensuel, passant de 14,6 à 15,7 milliards d'euros pour juin, alors que les experts ne pensaient pourtant pas le voir dépasser les 14,9 milliards d'euros pour la période considérée.
La production industrielle et le volume des commandes passées auprès des usines du pays s'étaient déjà révélés en début de semaine être supérieurs aux espérances, confirmant l'idée que la région commençait à redresser la barre.
Mais la prudence restait de mise après que deux hauts responsables de la Réserve Fédérale aient rappelé mardi qu'ils ne pouvaient pas exclure une diminution de ses coups de pouce dès sa réunion de septembre.
La finance avait le sourire, la Deutsche Bank allemande empochant 1,17%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,76 et 2,21%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,65 et 1,16%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 2,48 et 1,96%.
Adecco, première agence de travail temporaire au monde, s'envolait de 3,99% grâce à 12% de bénéfices supplémentaires, atteignant ainsi les 126 millions d'euros et dépassant les estimations moyennes, affirmant aussi discerner des signaux positifs pour l'avenir.
Mais tout n'était cependant pas rose, Nestlé, l'ogre de l'agroalimentaire, dérapant de 2,40% après avoir déploré au premier semestre la plus faible évolution de son chiffre d'affaires en quatre ans.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, conquérait 0,46%, tiré vers le haut par la vigueur de ses exploitants.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto bondissaient de 2,68 et 0,98%, leurs rivaux Antofagasta et Polymetal n'étant pas en reste avec 4,06 et 6,59%.
La City avait quand à elle retrouvé l'unanimité, HSBC Holdings grignotant 0,07%, et Lloyds Banking 0,43%, tandis que Barclays et la Royal Bank of Scotland se plaçaient en tête de peloton avec 0,76 et 0,85%.
Les perspectives des marchés américains partageaient l'optimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,32%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,31% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,38%.
La Chine avait quand à elle fait savoir à l'aube que ses exportations avaient grimpé de 5,1% d'une année sur l'autre en juin, dissipant le spectre d'un essoufflement de l'essor de la seconde économie mondiale, tandis que les importations bondissaient de 10,9% dans le même temps, laissant espérer un renforcement de la consommation nationale.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,98%, le CAC 40 français de 0,69%, et le DAX 30 allemand de 0,94%.
L'Allemagne a en effet signalé une augmentation du solde positif de son commerce extérieur mensuel, passant de 14,6 à 15,7 milliards d'euros pour juin, alors que les experts ne pensaient pourtant pas le voir dépasser les 14,9 milliards d'euros pour la période considérée.
La production industrielle et le volume des commandes passées auprès des usines du pays s'étaient déjà révélés en début de semaine être supérieurs aux espérances, confirmant l'idée que la région commençait à redresser la barre.
Mais la prudence restait de mise après que deux hauts responsables de la Réserve Fédérale aient rappelé mardi qu'ils ne pouvaient pas exclure une diminution de ses coups de pouce dès sa réunion de septembre.
La finance avait le sourire, la Deutsche Bank allemande empochant 1,17%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,76 et 2,21%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,65 et 1,16%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 2,48 et 1,96%.
Adecco, première agence de travail temporaire au monde, s'envolait de 3,99% grâce à 12% de bénéfices supplémentaires, atteignant ainsi les 126 millions d'euros et dépassant les estimations moyennes, affirmant aussi discerner des signaux positifs pour l'avenir.
Mais tout n'était cependant pas rose, Nestlé, l'ogre de l'agroalimentaire, dérapant de 2,40% après avoir déploré au premier semestre la plus faible évolution de son chiffre d'affaires en quatre ans.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, conquérait 0,46%, tiré vers le haut par la vigueur de ses exploitants.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto bondissaient de 2,68 et 0,98%, leurs rivaux Antofagasta et Polymetal n'étant pas en reste avec 4,06 et 6,59%.
La City avait quand à elle retrouvé l'unanimité, HSBC Holdings grignotant 0,07%, et Lloyds Banking 0,43%, tandis que Barclays et la Royal Bank of Scotland se plaçaient en tête de peloton avec 0,76 et 0,85%.
Les perspectives des marchés américains partageaient l'optimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,32%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,31% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,38%.
La Chine avait quand à elle fait savoir à l'aube que ses exportations avaient grimpé de 5,1% d'une année sur l'autre en juin, dissipant le spectre d'un essoufflement de l'essor de la seconde économie mondiale, tandis que les importations bondissaient de 10,9% dans le même temps, laissant espérer un renforcement de la consommation nationale.