Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris a cloturé sur un rebond de 1,92% mercredi, soutenu par des statistiques positives en provenance des Etats-Unis, même si des inquiétudes au sujet de l'impasse politique italienne continuaient de peser sur le moral des investisseurs.
Sur le front macroéconomique, les promesses de ventes de logements anciens ont rebondi de 4,5% à 105,9 points en janvier aux Etats-Unis, leur meilleur niveau depuis avril 2010. Le marché tablait sur une croissance de 1,5%. Les commandes de biens durables ont quant à elles reculé de 5,2% le mois dernier, mais affichent une progression de 1,9% hors transport, la plus forte depuis décembre 2011.
Dans la zone euro, les indices de confiance ont progressé en février dans la zone euro, selon Eurostat. L’indice du sentiment économique a augmenté de 1,6 point à 91,1, tandis que celui du climat des affaires s’est établi à -0,73 point, contre -1,09 en janvier, et celui mesurant la confiance du consommateur s’est redressé à -23,6, contre -23,9.
Par ailleurs, la contraction de l’économie britannique a été confirmée à 0,3% au quatrième trimestre après une croissance de 1% au troisième.
En Allemagne, la confiance du consommateur allemand devrait continuer de s’améliorer en mars, l’indice établi par l’institut GfK ressortant à 5,9 points, contre 5,8 en février. En France, l’indicateur de confiance des ménages calculé par l’Insee s’est établi à 86 points en février, niveau sur lequel il se maintient depuis décembre.
Du côté des valeurs, Bouygues restait en tête de l'indice parisien, en fin de séance. Le titre engrangeait 13,23% à la clôture, alors que le groupe a dit qu'il maintenait son dividende en dépit du recul des résultats.
Le groupe de BTP et de communication a vu son bénéfice net reculer de plus de 40% en 2012 en raison des difficultés de sa filiale télécoms, pour un chiffre d’affaires pourtant en hausse de 3%.
Egalement dans le vert, EADS s'octroyait 6,53% à la fermeture du marché, après avoir réalisé en 2012 un chiffre d’affaires de 56,48 milliards d’euros, en hausse de 15%, pour un profit net en progression de 19% à 1,22 milliard d’euros.
Lafarge gagnait aussi du terrain et progressait de 3,48% en fin de journée, dans le sillage de son concurrent suisse Holcim, qui a annoncé anticiper une croissance de ses ventes de ciments et une amélioration de son profit opérationnel cette année.
Par ailleurs, JPMorgan a relevé son objectif de cours sur l’action de Lafarge de 41,50 à 49 euros.
Quant aux banques, elles évoluaient elles aussi en hausse à la clôture du CAC 40. BNP Paribas s'adjugeait 3,56% en fin de séance, tandis que Société Générale et Crédit Agricole avançaient de 3,46% et de 0,82% respectivement.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 engrangeait 1,61% et le DAX s'octroyait 1,04%, tandis que le Footsie 100 grimpait de 0,88%.
Plus tard dans la journée, Ben Bernanke devait prendre la parole devant la Commission des Finances de la Chambre des représentants.
Sur le front macroéconomique, les promesses de ventes de logements anciens ont rebondi de 4,5% à 105,9 points en janvier aux Etats-Unis, leur meilleur niveau depuis avril 2010. Le marché tablait sur une croissance de 1,5%. Les commandes de biens durables ont quant à elles reculé de 5,2% le mois dernier, mais affichent une progression de 1,9% hors transport, la plus forte depuis décembre 2011.
Dans la zone euro, les indices de confiance ont progressé en février dans la zone euro, selon Eurostat. L’indice du sentiment économique a augmenté de 1,6 point à 91,1, tandis que celui du climat des affaires s’est établi à -0,73 point, contre -1,09 en janvier, et celui mesurant la confiance du consommateur s’est redressé à -23,6, contre -23,9.
Par ailleurs, la contraction de l’économie britannique a été confirmée à 0,3% au quatrième trimestre après une croissance de 1% au troisième.
En Allemagne, la confiance du consommateur allemand devrait continuer de s’améliorer en mars, l’indice établi par l’institut GfK ressortant à 5,9 points, contre 5,8 en février. En France, l’indicateur de confiance des ménages calculé par l’Insee s’est établi à 86 points en février, niveau sur lequel il se maintient depuis décembre.
Du côté des valeurs, Bouygues restait en tête de l'indice parisien, en fin de séance. Le titre engrangeait 13,23% à la clôture, alors que le groupe a dit qu'il maintenait son dividende en dépit du recul des résultats.
Le groupe de BTP et de communication a vu son bénéfice net reculer de plus de 40% en 2012 en raison des difficultés de sa filiale télécoms, pour un chiffre d’affaires pourtant en hausse de 3%.
Egalement dans le vert, EADS s'octroyait 6,53% à la fermeture du marché, après avoir réalisé en 2012 un chiffre d’affaires de 56,48 milliards d’euros, en hausse de 15%, pour un profit net en progression de 19% à 1,22 milliard d’euros.
Lafarge gagnait aussi du terrain et progressait de 3,48% en fin de journée, dans le sillage de son concurrent suisse Holcim, qui a annoncé anticiper une croissance de ses ventes de ciments et une amélioration de son profit opérationnel cette année.
Par ailleurs, JPMorgan a relevé son objectif de cours sur l’action de Lafarge de 41,50 à 49 euros.
Quant aux banques, elles évoluaient elles aussi en hausse à la clôture du CAC 40. BNP Paribas s'adjugeait 3,56% en fin de séance, tandis que Société Générale et Crédit Agricole avançaient de 3,46% et de 0,82% respectivement.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 engrangeait 1,61% et le DAX s'octroyait 1,04%, tandis que le Footsie 100 grimpait de 0,88%.
Plus tard dans la journée, Ben Bernanke devait prendre la parole devant la Commission des Finances de la Chambre des représentants.