Investing.com - Les bourses européennes restaient en difficulté ce lundi après-midi, dans le sillage d'une série de statistiques régionales, tandis que les tractations politiques allemandes demeuraient au centre des débats.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,19%, mais le CAC 40 français arrachait 0,05%, et le DAX 30 allemand perdait 0,09%.
La nervosité était en effet palpable après qu'il ait été souligné que l'indice préliminaire des directeurs des achats du secteur manufacturier du bloc ayant adopté la monnaie unique était passé des 51,4 définitifs d'août à 51,1, au lieu des 51,8 anticipés.
Celui des services ne suivait cependant pas le même chemin, passant de 50,7 à 52,1 dans le même temps, alors qu'un saut de puce à 51,1 semblait probable.
Le premier de ces baromètres correspondants de l'Allemagne se rétractait pour sa part depuis 51,8 jusqu'à 51,3, prenant à revers ceux espérant un sursaut à 52,2, mais le second a par contre accéléré de 52,8 vers 54,4, sa meilleure valeur en quatre mois, dépassant largement les 53,1 attendus.
Le parti de la chancelière sortante Angela Merkel a quand à lui assuré à cette dernière un troisième mandat consécutif historique à l'issue des élections législatives d'hier, les chefs des différentes factions devant se rencontrer sous peu afin d'évoquer les possibilités de coalition.
La finance était mitigée, la Deutsche Bank allemande empochant 0,03%, suivie du français BNP Paribas avec 0,81%, dont le compatriote Société Générale laissant cependant échapper 0,74%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA sombrant respectivement de 0,20 et 0,10%, tandis que les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit encaissaient 1,24 et 0,99%.
Le prospecteur pétrolier en haute mer Fugro NV coulait de 3,70% après avoir nommé Paul Verhagen au poste de directeur financier et prévu 3,7 milliards d'euros de chiffre d'affaires pour 2016.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,36%, plombé par des établissements bancaires en difficulté.
Barclays reculait ainsi de 1,97%, Lloyds Banking de 1,04 et la Royal Bank of Scotland de 0,82%, tandis que HSBC Holdings émergeait par contre de 0,53%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également continué à souffrir, les mastodontes miniers Evraz et Glencore Xstrata fondant de 2,49 et 0,83%, Polymetal et Randgold Resources n'étant pas à l'abri avec 5,58 et 2,92%.
L'opérateur de réseaux électriques national n'échappait pas à la tendance, dégringolant de 1,66% après que l'UBS en ait rétrogradé l'appréciation depuis le conseil d'achat vers la neutralité, estimant que sa valorisation tenait déjà compte de ses projections de croissance.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,17%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,19% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,33%.
Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, s'apprêtait de son côté à comparaître devant le comité économique aux affaires monétaires du parlement européen à Bruxelles.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,19%, mais le CAC 40 français arrachait 0,05%, et le DAX 30 allemand perdait 0,09%.
La nervosité était en effet palpable après qu'il ait été souligné que l'indice préliminaire des directeurs des achats du secteur manufacturier du bloc ayant adopté la monnaie unique était passé des 51,4 définitifs d'août à 51,1, au lieu des 51,8 anticipés.
Celui des services ne suivait cependant pas le même chemin, passant de 50,7 à 52,1 dans le même temps, alors qu'un saut de puce à 51,1 semblait probable.
Le premier de ces baromètres correspondants de l'Allemagne se rétractait pour sa part depuis 51,8 jusqu'à 51,3, prenant à revers ceux espérant un sursaut à 52,2, mais le second a par contre accéléré de 52,8 vers 54,4, sa meilleure valeur en quatre mois, dépassant largement les 53,1 attendus.
Le parti de la chancelière sortante Angela Merkel a quand à lui assuré à cette dernière un troisième mandat consécutif historique à l'issue des élections législatives d'hier, les chefs des différentes factions devant se rencontrer sous peu afin d'évoquer les possibilités de coalition.
La finance était mitigée, la Deutsche Bank allemande empochant 0,03%, suivie du français BNP Paribas avec 0,81%, dont le compatriote Société Générale laissant cependant échapper 0,74%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA sombrant respectivement de 0,20 et 0,10%, tandis que les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit encaissaient 1,24 et 0,99%.
Le prospecteur pétrolier en haute mer Fugro NV coulait de 3,70% après avoir nommé Paul Verhagen au poste de directeur financier et prévu 3,7 milliards d'euros de chiffre d'affaires pour 2016.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,36%, plombé par des établissements bancaires en difficulté.
Barclays reculait ainsi de 1,97%, Lloyds Banking de 1,04 et la Royal Bank of Scotland de 0,82%, tandis que HSBC Holdings émergeait par contre de 0,53%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également continué à souffrir, les mastodontes miniers Evraz et Glencore Xstrata fondant de 2,49 et 0,83%, Polymetal et Randgold Resources n'étant pas à l'abri avec 5,58 et 2,92%.
L'opérateur de réseaux électriques national n'échappait pas à la tendance, dégringolant de 1,66% après que l'UBS en ait rétrogradé l'appréciation depuis le conseil d'achat vers la neutralité, estimant que sa valorisation tenait déjà compte de ses projections de croissance.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,17%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,19% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,33%.
Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, s'apprêtait de son côté à comparaître devant le comité économique aux affaires monétaires du parlement européen à Bruxelles.