Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture en retrait modéré ce lundi, les opérateurs étant désireux d'empocher les gains découlant de la poussée de la journée de cotation précédente, consécutive aux belles perforances de l'emploi aux Etats-Unis.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.13%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.18% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.2%.
Il a en effet été constaté vendredi que l'économie américaine avait créé 236 000 postes en février, soit nettement plus que les 160 000 espérés, tandis que le taux de chômage avait fait la bonne surprise de fléchir de 7.9 jusqu'à 7.7% pour le mois dernier, son niveau le plus faible depuis décembre 2008.
Ces nouvelles réjouissantes ont du coup déclenché le retour des rumeurs d'interruption prématurée des apports de capitaux de la Réserve Fédérale, et encouragé sa devise.
L'industrie pharmaceutique se trouvait en première ligne, après qu'un article ait rapporté samedi qu'une étude de grande envergure avait mis en relief des effets secondaires inquiétants du traitement à base de niacine à durée de vie prolongée vendu par Merck & Co et destiné à encourager les niveaux de HDL, le "bon" cholestérol, et ayant de fortes chances de mettre ainsi un point final aux traitements préventifs très lucratifs de cette sorte pour les patients cardiaques.
Les télécommunications n'étaient pas en reste, le journal Times of India ayant fait savoir qu'AT&T envisagerait d'acquérir 25% de l'indien Reliance Jio Infocomm Ltd, un acteur du secteur dirigé par le milliardaire Mukesh Ambani, pour 3.5 milliards d'USD.
Il ne fallait pas non plus négliger l'informatique, Apple étant sous les feux de la rampe après que son directeur général Tim Cook ait laissé entendre la semaine passée que bien que la firme à la pomme soit en train de plancher sur une télévision interactive destinée à lui ouvrir de nouvelles perspectives de croissance, la montre-bracelet électronique encore en cours de développement dont il a récemment été question pourrait s'avérer plus rentable.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Urban Outfitters, dont les résultats seront bientôt proclamés.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt moroses, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.78%, le CAC 40 français de 0.48%, et le DAX 30 allemand de 0.3%, tandis que le FTSE 100 britannique arrachait 0.01%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait stagné, et le Nikkei 225 japonais empoché 0.53%.
Mais le spectre d'une perte de vitesse de la seconde économie mondiale a refait son apparition après qu'il ait été montré en fin de semaine que l'inflation de la Chine avait grimpé le mois dernier à son plus haut niveau en dix mois, tandis que la production industrielle et les ventes au détail décevaient.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.13%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.18% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.2%.
Il a en effet été constaté vendredi que l'économie américaine avait créé 236 000 postes en février, soit nettement plus que les 160 000 espérés, tandis que le taux de chômage avait fait la bonne surprise de fléchir de 7.9 jusqu'à 7.7% pour le mois dernier, son niveau le plus faible depuis décembre 2008.
Ces nouvelles réjouissantes ont du coup déclenché le retour des rumeurs d'interruption prématurée des apports de capitaux de la Réserve Fédérale, et encouragé sa devise.
L'industrie pharmaceutique se trouvait en première ligne, après qu'un article ait rapporté samedi qu'une étude de grande envergure avait mis en relief des effets secondaires inquiétants du traitement à base de niacine à durée de vie prolongée vendu par Merck & Co et destiné à encourager les niveaux de HDL, le "bon" cholestérol, et ayant de fortes chances de mettre ainsi un point final aux traitements préventifs très lucratifs de cette sorte pour les patients cardiaques.
Les télécommunications n'étaient pas en reste, le journal Times of India ayant fait savoir qu'AT&T envisagerait d'acquérir 25% de l'indien Reliance Jio Infocomm Ltd, un acteur du secteur dirigé par le milliardaire Mukesh Ambani, pour 3.5 milliards d'USD.
Il ne fallait pas non plus négliger l'informatique, Apple étant sous les feux de la rampe après que son directeur général Tim Cook ait laissé entendre la semaine passée que bien que la firme à la pomme soit en train de plancher sur une télévision interactive destinée à lui ouvrir de nouvelles perspectives de croissance, la montre-bracelet électronique encore en cours de développement dont il a récemment été question pourrait s'avérer plus rentable.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Urban Outfitters, dont les résultats seront bientôt proclamés.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt moroses, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.78%, le CAC 40 français de 0.48%, et le DAX 30 allemand de 0.3%, tandis que le FTSE 100 britannique arrachait 0.01%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait stagné, et le Nikkei 225 japonais empoché 0.53%.
Mais le spectre d'une perte de vitesse de la seconde économie mondiale a refait son apparition après qu'il ait été montré en fin de semaine que l'inflation de la Chine avait grimpé le mois dernier à son plus haut niveau en dix mois, tandis que la production industrielle et les ventes au détail décevaient.