Investing.com - Les bourses européennes étaient en forme ce vendredi matin, dans l'expectative de la publication imminente des chiffres de la production industrielle régionale, les cours se trouvait toujours tirés vers le haut par les propos tenus avant-hier par le chef de la banque centrale des Etats-Unis.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,25%, le CAC 40 français de 0,20%, et le DAX 30 allemand de 0,49%.
Les places mondiales ont en effet retrouvé le sourire après que Ben Bernanke, à la tête de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait confirmé que cette dernière poursuivrait ses assouplissements aussi longtemps que les prévisions pouvaient porter, grâce à la faiblesse de l'inflation et en raison d'un emploi déprimé.
Le compte-rendu détaillé de son dernier conseil directeur avait pourtant montré auparavant que ses membres étaient divisés sur le moment où il faudrait en réduire la voilure, se montant à 85 milliards d'USD mensuels.
La finance avait le sourire, la Deutsche Bank allemande empochant 1,13%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,77 et 0,84%.
Il en était de même à la périphérie, l'espagnol Banco Santander encaissant 0,31 et %, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit lui emboîtant le pas avec 0,93 et 0,17%.
SAP AG s'élevait de 0,70%, et Cap Gemini de 1,76% après qu'Infosys Ltd. en ait revu à la hausse les projections de chiffre d'affaires.
A Londres, le FTSE 100 conquérait 0,30%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
HSBC Holdings engrangeait ainsi 0,28% et Barclays de 0,82%, Lloyds Banking et la Royal Bank of Scotland se plaçant en pointe avec 0,97 et 1,36%.
Invensys s'envolait pour sa part de 15,88% après que Schneider Electric en ait offert 3,3 milliards de GBP.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières souffraient par contre, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondant respectivement de 0,07 et 1,12%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American suivait le même chemin avec 1,10%.
Les perspectives des marchés américains ne partageaient pas l'optimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,06%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,09% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,05%.
Les Etats-Unis achèveront de leur côté la semaine avec leur inflation des prix à la production, ainsi qu'avec leur première évaluation de l'indice du moral des ménages établi par l'université du Michigan.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,25%, le CAC 40 français de 0,20%, et le DAX 30 allemand de 0,49%.
Les places mondiales ont en effet retrouvé le sourire après que Ben Bernanke, à la tête de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait confirmé que cette dernière poursuivrait ses assouplissements aussi longtemps que les prévisions pouvaient porter, grâce à la faiblesse de l'inflation et en raison d'un emploi déprimé.
Le compte-rendu détaillé de son dernier conseil directeur avait pourtant montré auparavant que ses membres étaient divisés sur le moment où il faudrait en réduire la voilure, se montant à 85 milliards d'USD mensuels.
La finance avait le sourire, la Deutsche Bank allemande empochant 1,13%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,77 et 0,84%.
Il en était de même à la périphérie, l'espagnol Banco Santander encaissant 0,31 et %, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit lui emboîtant le pas avec 0,93 et 0,17%.
SAP AG s'élevait de 0,70%, et Cap Gemini de 1,76% après qu'Infosys Ltd. en ait revu à la hausse les projections de chiffre d'affaires.
A Londres, le FTSE 100 conquérait 0,30%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
HSBC Holdings engrangeait ainsi 0,28% et Barclays de 0,82%, Lloyds Banking et la Royal Bank of Scotland se plaçant en pointe avec 0,97 et 1,36%.
Invensys s'envolait pour sa part de 15,88% après que Schneider Electric en ait offert 3,3 milliards de GBP.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières souffraient par contre, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondant respectivement de 0,07 et 1,12%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American suivait le même chemin avec 1,10%.
Les perspectives des marchés américains ne partageaient pas l'optimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,06%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,09% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,05%.
Les Etats-Unis achèveront de leur côté la semaine avec leur inflation des prix à la production, ainsi qu'avec leur première évaluation de l'indice du moral des ménages établi par l'université du Michigan.