Investing.com - Les bourses européennes étaient sur la défensive ce lundi matin, alors que l'ambiance demeurait plombée par les bruits savamment distillés concernant une éventuelle diminution des coups de pouce de la banque centrale des Etats-Unis.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,54%, le CAC 40 français de 0,67%, et le DAX 30 allemand de 0,66%.
La prudence restait de mise à l'avant-veille de la publication du compte-rendu de la plus récente réunion de la banque centrale des Etats-Unis, en quête d'indices sur le moment où elle réduira la voilure de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
Les rumeurs évoquant une telle éventualité dès septembre avaient en effet enflé la semaine passée, après que le nombre des nouvelles inscriptions au chômage américain aient plongé à leur plus bas niveau en près de six ans.
La finance était partagée, la Deutsche Bank allemande empochant 0,14%, tandis que les français BNP Paribas et Société Générale laissaient respectivement échapper 0,20 et 0,31%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA reculant de 0,69 et 0,35%, l'italien Intesa Sanpaolo encaissant par contre 0,25%.
Atlas Copco s'élevait de 2,20% après qu'il ait été rapporté qu'un rachat de l'Edwards Group pourrait être anoncé dès ce mois-ci.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, se rétractait de 0,31%, tiré vers le bas par des exploitants.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondaient de 0,96 et 1,29%, leurs rivaux Eurasian Natural Resources et Glencore faisant pire avec 1,79 et 1,87%.
La City avait quand à elle majoritairement le sourire, Lloyds Banking grignotant 0,08%, Barclays 0,24% et la Royal Bank of Scotland 0,86%, tandis que HSBC Holdings décevait avec 0,31%.
Le fournisseur d'infrastructures d'extraction d'hydrocarbures irlandais Kentz s'envolait de 22,92% après avoir reçu des offres d'acquisition, notamment de la part de Amec Plc et du M&W Group.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois modérément optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,03%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,04% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,07%.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,54%, le CAC 40 français de 0,67%, et le DAX 30 allemand de 0,66%.
La prudence restait de mise à l'avant-veille de la publication du compte-rendu de la plus récente réunion de la banque centrale des Etats-Unis, en quête d'indices sur le moment où elle réduira la voilure de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
Les rumeurs évoquant une telle éventualité dès septembre avaient en effet enflé la semaine passée, après que le nombre des nouvelles inscriptions au chômage américain aient plongé à leur plus bas niveau en près de six ans.
La finance était partagée, la Deutsche Bank allemande empochant 0,14%, tandis que les français BNP Paribas et Société Générale laissaient respectivement échapper 0,20 et 0,31%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA reculant de 0,69 et 0,35%, l'italien Intesa Sanpaolo encaissant par contre 0,25%.
Atlas Copco s'élevait de 2,20% après qu'il ait été rapporté qu'un rachat de l'Edwards Group pourrait être anoncé dès ce mois-ci.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, se rétractait de 0,31%, tiré vers le bas par des exploitants.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondaient de 0,96 et 1,29%, leurs rivaux Eurasian Natural Resources et Glencore faisant pire avec 1,79 et 1,87%.
La City avait quand à elle majoritairement le sourire, Lloyds Banking grignotant 0,08%, Barclays 0,24% et la Royal Bank of Scotland 0,86%, tandis que HSBC Holdings décevait avec 0,31%.
Le fournisseur d'infrastructures d'extraction d'hydrocarbures irlandais Kentz s'envolait de 22,92% après avoir reçu des offres d'acquisition, notamment de la part de Amec Plc et du M&W Group.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois modérément optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,03%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,04% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,07%.