Investing.com - Les bourses européennes étaient en bonne forme ce mercredi matin, dans le sillage de bonnes nouvelles allemandes, bien que de piètres résultats chinois aient ranimé le spectre d'un essoufflement de l'essor de la seconde économie mondiale.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,69%, le CAC 40 français de 0,67%, et le DAX 30 allemand de 0,56%.
Le groupe de recherches économiques Markit a en effet vu son indice des directeurs d'achat des industries germaniques avait bondi de 48,6 vers 50,3 pour juillet, surpassant les 49,2 espérés et surpassant la barre des 50 dénotant une croissance pour la première fois depuis février.
Il a aussi précisé que son équivalent concernant les services était remonté des 50,4 de juin à 52,5, dépassant également les 50,8 anticipés.
La première évaluation du baromètre de l'activité manufacturière de la Chine établie par HSBC a en effet plongé depuis 48,2 vers 47,7 pour juillet, son niveau le plus bas en 11 mois, alors qu'un sursaut à 48,6 était envisagé.
La finance arborait un sourire mitigé, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,11%, tandis que les français BNP Paribas et Société Générale empochaient respectivement 0,76 et 0,32%.
L'agence de presse Bloomberg avait auparavant révélé que la première se préparait à fusionner deux branches de courtage de dettes londoniens, afin de diminuer les coûts de fonctionnement et les investissements risqués.
La périphérie était plus unanime, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,97 et 0,72%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 1,23 et 1,27%.
A Londres, le FTSE 100 conquérait 0,66%, tiré vers le haut par des établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
La Royal Bank of Scotland grimpait ainsi de 0,13%, et Lloyds Banking de 0,33%, Barclays et HSBC Holdings se plaçant en tête avec 0,36 et 0,95%.
Parmi les autres bonnes nouvelles, ARM Holdings, qui met notamment au point les microprocesseurs des iPhone et iPads d'Apple, raflait 1,95% après avoir revendiqué un chiffre d'affaires du second trimestre supérieur aux espérances, les fabricants d'intelliphones et de tablettes électroniques voyant leurs exigences graphiques et donc leurs besoins en capacité informatique augmenter.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient plus nuancées, le mastodonte minier Rio Tinto fondant de 0,31 et Vedanta Resources de 1,52%, leurs rival BHP Billiton et le poids lourd des hydrocarbures Anglo American arrachant au contraire 0,03 et 0,26%.
Le constructeur automobile britannique Daimler dérapait cependant de 0,91%, malgré des prévisions de rentrées en hausse pour le second semestre, grâce à l'attrai de ses nouveaux modèles.
Les perspectives des marchés américains partageaient nettement l'optimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,23%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,25% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,76%.
La zone euro comptait quand à elle divulguer aujourd'hui quand à elle ses informations préliminaires concernant l'activité des industries et des prestataires de services, et les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec le nombre des ventes de logements neufs.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,69%, le CAC 40 français de 0,67%, et le DAX 30 allemand de 0,56%.
Le groupe de recherches économiques Markit a en effet vu son indice des directeurs d'achat des industries germaniques avait bondi de 48,6 vers 50,3 pour juillet, surpassant les 49,2 espérés et surpassant la barre des 50 dénotant une croissance pour la première fois depuis février.
Il a aussi précisé que son équivalent concernant les services était remonté des 50,4 de juin à 52,5, dépassant également les 50,8 anticipés.
La première évaluation du baromètre de l'activité manufacturière de la Chine établie par HSBC a en effet plongé depuis 48,2 vers 47,7 pour juillet, son niveau le plus bas en 11 mois, alors qu'un sursaut à 48,6 était envisagé.
La finance arborait un sourire mitigé, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,11%, tandis que les français BNP Paribas et Société Générale empochaient respectivement 0,76 et 0,32%.
L'agence de presse Bloomberg avait auparavant révélé que la première se préparait à fusionner deux branches de courtage de dettes londoniens, afin de diminuer les coûts de fonctionnement et les investissements risqués.
La périphérie était plus unanime, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,97 et 0,72%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 1,23 et 1,27%.
A Londres, le FTSE 100 conquérait 0,66%, tiré vers le haut par des établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
La Royal Bank of Scotland grimpait ainsi de 0,13%, et Lloyds Banking de 0,33%, Barclays et HSBC Holdings se plaçant en tête avec 0,36 et 0,95%.
Parmi les autres bonnes nouvelles, ARM Holdings, qui met notamment au point les microprocesseurs des iPhone et iPads d'Apple, raflait 1,95% après avoir revendiqué un chiffre d'affaires du second trimestre supérieur aux espérances, les fabricants d'intelliphones et de tablettes électroniques voyant leurs exigences graphiques et donc leurs besoins en capacité informatique augmenter.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient plus nuancées, le mastodonte minier Rio Tinto fondant de 0,31 et Vedanta Resources de 1,52%, leurs rival BHP Billiton et le poids lourd des hydrocarbures Anglo American arrachant au contraire 0,03 et 0,26%.
Le constructeur automobile britannique Daimler dérapait cependant de 0,91%, malgré des prévisions de rentrées en hausse pour le second semestre, grâce à l'attrai de ses nouveaux modèles.
Les perspectives des marchés américains partageaient nettement l'optimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,23%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,25% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,76%.
La zone euro comptait quand à elle divulguer aujourd'hui quand à elle ses informations préliminaires concernant l'activité des industries et des prestataires de services, et les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec le nombre des ventes de logements neufs.