Investing.com - Les bourses européennes étaient en difficulté ce mercredi matin, la nervosité était palpable à l'approche du discours du chef de la banque centrale britannique, sur fond d'incertitudes sur les orientations futures de son homologue américaine.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,36%, le CAC 40 français de 0,51%, et le DAX 30 allemand de 0,56%.
Les cours régionaux avaient rebondi hier, après qu'il ait été montré hier que les usines allemandes avaient enregistré 3,8% de commandes supplémentaires en juin, au lieu des 1% espérés.
Il était aussi à noter que l'Italie avait sauvé les meubles en limitant la contraction de son économie à 0,2% au second trimestre, perettant ainsi d'envisager une stabilisation de la troisième économie de la zone.
Le Fonds Monétaire International a pour sa part revu à la hausse les projections d'expansion de son bulletin annuel pour l'Allemagne depuis 1,3 vers 1,4% pour 2014 et maintenu les 0,3% avancés pour cette année.
La finance était divisée, la Deutsche Bank allemande empochant 0,23%, alors que les français BNP Paribas et Société Générale laissaient respectivement échapper 1,15 et 0,92%.
Il en était de même à la périphérie, l'espagnol Banco Santander sombrant de 0,38%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit encaissant 1,14 et 2,68%.
Le fabricant d'équipements électriques Rexel plongeait de 4,01% après que Ray Investment en ait vendu pour 546 millions d'euros de parts.
L'actualité était aussi le fait de l'opérateur téléphonique Swisscom, gripant de 0,75% après avoir revendiqué un chiffre d'affaires et des bénéfices supérieurs aux estimations pour le second trimestre, et précisé prévoir la désignation d'un nouveau directeur général d'ici la fin de l'année.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, chutait de 0,50%, tiré vers le bas par des exploitants en difficulté.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondaient de 0,65 et 1,62%, leurs rivaux Fresnillo et Randgold Resources n'étant pas en reste avec 0,65 et 6,76%.
La City suivait quand à elle le chemin hésitant tracé sur le continent, Lloyds Banking se rétractant de 0,16%, Barclays de 0,50% et HSBC Holdings de 0,89%, tandis que la Royal Bank of Scotland émergeait pour une seconde fois d'affilée, avec 0,14%.
Les perspectives des marchés américains étaient plutôt pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,45%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,46% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,36%.
L'attention se tournait désormais vers la publication du bulletin trimestriel sur l'inflation de la Banque d'Angleterre, dont le nouveau gouverneur Mark Carney devrait également présenter les résultats d'une étude concernant la fourniture d'informations sur les évolutions futures des taux d'intérêt.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,36%, le CAC 40 français de 0,51%, et le DAX 30 allemand de 0,56%.
Les cours régionaux avaient rebondi hier, après qu'il ait été montré hier que les usines allemandes avaient enregistré 3,8% de commandes supplémentaires en juin, au lieu des 1% espérés.
Il était aussi à noter que l'Italie avait sauvé les meubles en limitant la contraction de son économie à 0,2% au second trimestre, perettant ainsi d'envisager une stabilisation de la troisième économie de la zone.
Le Fonds Monétaire International a pour sa part revu à la hausse les projections d'expansion de son bulletin annuel pour l'Allemagne depuis 1,3 vers 1,4% pour 2014 et maintenu les 0,3% avancés pour cette année.
La finance était divisée, la Deutsche Bank allemande empochant 0,23%, alors que les français BNP Paribas et Société Générale laissaient respectivement échapper 1,15 et 0,92%.
Il en était de même à la périphérie, l'espagnol Banco Santander sombrant de 0,38%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit encaissant 1,14 et 2,68%.
Le fabricant d'équipements électriques Rexel plongeait de 4,01% après que Ray Investment en ait vendu pour 546 millions d'euros de parts.
L'actualité était aussi le fait de l'opérateur téléphonique Swisscom, gripant de 0,75% après avoir revendiqué un chiffre d'affaires et des bénéfices supérieurs aux estimations pour le second trimestre, et précisé prévoir la désignation d'un nouveau directeur général d'ici la fin de l'année.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, chutait de 0,50%, tiré vers le bas par des exploitants en difficulté.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondaient de 0,65 et 1,62%, leurs rivaux Fresnillo et Randgold Resources n'étant pas en reste avec 0,65 et 6,76%.
La City suivait quand à elle le chemin hésitant tracé sur le continent, Lloyds Banking se rétractant de 0,16%, Barclays de 0,50% et HSBC Holdings de 0,89%, tandis que la Royal Bank of Scotland émergeait pour une seconde fois d'affilée, avec 0,14%.
Les perspectives des marchés américains étaient plutôt pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,45%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,46% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,36%.
L'attention se tournait désormais vers la publication du bulletin trimestriel sur l'inflation de la Banque d'Angleterre, dont le nouveau gouverneur Mark Carney devrait également présenter les résultats d'une étude concernant la fourniture d'informations sur les évolutions futures des taux d'intérêt.