Investing.com - Les bourses européennes étaient sans direction tranchée ce mardi après-midi, malgré les bonnes nouvelles provenant des industriels allemands, sur fond de nouvelles réflexions concernant le moment la banque centrale des Etats-Unis effectuera un tour de vis.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,13%, et le CAC 40 français de 0,17%, tandis que le DAX 30 allemand glissait de 0,03%.
Les valeurs avaient repris du poil de la bête après qu'il ait été montré que les usines allemandes avaient enregistré 3,8% de commandes supplémentaires en juin, au lieu des 1% espérés.
Elles avaient déjà retrouvé des couleurs hier, après que l'indice des directeurs des achats du secteur tertiaire du bloc euro soit passé de 48,3 jusqu'à 49,8 en juillet, confirmant les signes de reprise régionaux.
Mais la nervosité était palpable après qu'il ait été montré hier que l'activité du secteur tertiaire américain avait connu en juillet sa plus forte amélioration en cinq mois, alimentant les rumeurs de réduction prochaine des rachats d'actifs de la Réserve Fédérale.
La finance était partagée, la Deutsche Bank allemande reculant de 0,30%, et le français Société Générale de 0,67, tandis que son compatriote BNP Paribas empochait 0,27%.
Le Crédit Agricole, troisième plus gros acteur français en termes de valorisation, s'envolait de 1,45% après avoir revendiqué des profits regonflés au second trimestre, grâce à la vente du boulet constitué par sa branche grecque.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant respectivement 0,74 et 0,14%, l'italien Intesa Sanpaolo laissant par contre échapper 0,28%.
Du côté de la sidérurgie, Salzgitter plongeait de 9,88% après avoir déclaré redouter 400 millions d'euros de pertes avant impôts pour cette année, en raison du fléchissement de la demande.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, subissait une érosion de 0,16%, tiré vers le bas par des exploitants en difficulté, bien que la production manufacturée britannique ait bondi de 1,9% en juin, soit plus du double des 0,9% espérés.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondaient de 1,08 et 1,76%, leurs rivaux Fresnillo et Randgold Resources n'étant pas à l'abri avec 5,88 et 4,14%.
La City demeurait morose, HSBC Holdings sombrant de 0,43%, Barclays de 0,74% et Lloyds Banking de 2,36%, tandis que la Royal Bank of Scotland tirait son épingle du jeu avec un sursaut de 0,62%.
La première avait précédemment avoué avoir enregistré des rentrées inférieures aux estimations, son directeur général Stuart Gulliver déplorant un ralentissement de l'envolée des marchés émergents.
Les perspectives des marchés américains étaient plutôt modérément pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,18%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,14% et celles sur le Nasdaq 100 laissant espérer une frémissement de 0,05%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le solde de leur commerce extérieur.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,13%, et le CAC 40 français de 0,17%, tandis que le DAX 30 allemand glissait de 0,03%.
Les valeurs avaient repris du poil de la bête après qu'il ait été montré que les usines allemandes avaient enregistré 3,8% de commandes supplémentaires en juin, au lieu des 1% espérés.
Elles avaient déjà retrouvé des couleurs hier, après que l'indice des directeurs des achats du secteur tertiaire du bloc euro soit passé de 48,3 jusqu'à 49,8 en juillet, confirmant les signes de reprise régionaux.
Mais la nervosité était palpable après qu'il ait été montré hier que l'activité du secteur tertiaire américain avait connu en juillet sa plus forte amélioration en cinq mois, alimentant les rumeurs de réduction prochaine des rachats d'actifs de la Réserve Fédérale.
La finance était partagée, la Deutsche Bank allemande reculant de 0,30%, et le français Société Générale de 0,67, tandis que son compatriote BNP Paribas empochait 0,27%.
Le Crédit Agricole, troisième plus gros acteur français en termes de valorisation, s'envolait de 1,45% après avoir revendiqué des profits regonflés au second trimestre, grâce à la vente du boulet constitué par sa branche grecque.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant respectivement 0,74 et 0,14%, l'italien Intesa Sanpaolo laissant par contre échapper 0,28%.
Du côté de la sidérurgie, Salzgitter plongeait de 9,88% après avoir déclaré redouter 400 millions d'euros de pertes avant impôts pour cette année, en raison du fléchissement de la demande.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, subissait une érosion de 0,16%, tiré vers le bas par des exploitants en difficulté, bien que la production manufacturée britannique ait bondi de 1,9% en juin, soit plus du double des 0,9% espérés.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondaient de 1,08 et 1,76%, leurs rivaux Fresnillo et Randgold Resources n'étant pas à l'abri avec 5,88 et 4,14%.
La City demeurait morose, HSBC Holdings sombrant de 0,43%, Barclays de 0,74% et Lloyds Banking de 2,36%, tandis que la Royal Bank of Scotland tirait son épingle du jeu avec un sursaut de 0,62%.
La première avait précédemment avoué avoir enregistré des rentrées inférieures aux estimations, son directeur général Stuart Gulliver déplorant un ralentissement de l'envolée des marchés émergents.
Les perspectives des marchés américains étaient plutôt modérément pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,18%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,14% et celles sur le Nasdaq 100 laissant espérer une frémissement de 0,05%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le solde de leur commerce extérieur.