Investing.com - Les bourses européennes étaient en repli ce jeudi, sur fond de peurs persistantes liées à la crise de la dette de la zone euro à l'approche des ventes aux enchères de dettes françaises et espagnoles prévues en cours de journée.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a plongé de 0.62%, le CAC 40 français de 0.74%, et le DAX 30 allemand de 0.83%.
Cette remarque survenait alors que l'Espagne prévoyait vendre 3.75 milliards d'euros de ses dettes nationales aux enchères en cours de journée, et la France 4.5 milliards.
Les bourses européennes avaient rebondi hier après que la Réserve Fédérale des Etats-Unis et cinq autres banques centrales aient rabaissé leur coûts des capitaux en dollars, et que la Chine ait rebaissé ses taux de réserves bancaires.
La finance a tiré les bourses vers le bas, la Société Générale française en lanterne rouge s'effondrant de 3.1%, ses compatriotes BNP Paribas et le Crédit Agricole de respectivement 1.69 et 1.35%, L'ING Groep néerlandais subissant la tendance de 2.77%.
La Deutsche Bank allemande a toutefois arraché 0.16%, bien qu'elle ait été un des grands établissements bancaires mondiaux visés par le rabaissement d'un cran effectué mercredi par l'agence de notation Standard & Poor's.
Les compagnies énergétiques n'ont guère été mieux loties, leu représentants germains RWE AG et E.ON AG régressant de 1.19 et 0.82%, le français EDF limitant les dégâts à 1.14%.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a trébuché de 0.07%, freiné par des compagnies minières embarrassées par des informations officielles montrant que l'activité manufacturière chinoise avait diminué en novembre pour la première fois en près de trois ans.
Les mastodontes Rio Tinto et BHP Billiton ont fondu de 0.78 et 1.32%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys laissant échapper 1.18 et 0.22%.
La City était plus mitigée, Anglo American glissant de 0.88%, Lloyds Banking de 0.79%, tandis que HSBC Holdings et la Royal Bank of Scotland progressaient 0.26 et 1.2%.
Le vendeur d'aménagements d'intérieur Kingfisher PLC se trouvait en tête de classe en engrangeant 3.09%, après avoir révélé des ventes en amélioration au troisième trimestre.
Les perspectives des marchés américains étaient également moroses: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.37%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.56% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.34%.
Les Etats-Unis devraient publier aujourd'hui leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, et l'institut de gestion des approvisionnements faire de même concernant le volume de l'activité des usines.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a plongé de 0.62%, le CAC 40 français de 0.74%, et le DAX 30 allemand de 0.83%.
Cette remarque survenait alors que l'Espagne prévoyait vendre 3.75 milliards d'euros de ses dettes nationales aux enchères en cours de journée, et la France 4.5 milliards.
Les bourses européennes avaient rebondi hier après que la Réserve Fédérale des Etats-Unis et cinq autres banques centrales aient rabaissé leur coûts des capitaux en dollars, et que la Chine ait rebaissé ses taux de réserves bancaires.
La finance a tiré les bourses vers le bas, la Société Générale française en lanterne rouge s'effondrant de 3.1%, ses compatriotes BNP Paribas et le Crédit Agricole de respectivement 1.69 et 1.35%, L'ING Groep néerlandais subissant la tendance de 2.77%.
La Deutsche Bank allemande a toutefois arraché 0.16%, bien qu'elle ait été un des grands établissements bancaires mondiaux visés par le rabaissement d'un cran effectué mercredi par l'agence de notation Standard & Poor's.
Les compagnies énergétiques n'ont guère été mieux loties, leu représentants germains RWE AG et E.ON AG régressant de 1.19 et 0.82%, le français EDF limitant les dégâts à 1.14%.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a trébuché de 0.07%, freiné par des compagnies minières embarrassées par des informations officielles montrant que l'activité manufacturière chinoise avait diminué en novembre pour la première fois en près de trois ans.
Les mastodontes Rio Tinto et BHP Billiton ont fondu de 0.78 et 1.32%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys laissant échapper 1.18 et 0.22%.
La City était plus mitigée, Anglo American glissant de 0.88%, Lloyds Banking de 0.79%, tandis que HSBC Holdings et la Royal Bank of Scotland progressaient 0.26 et 1.2%.
Le vendeur d'aménagements d'intérieur Kingfisher PLC se trouvait en tête de classe en engrangeant 3.09%, après avoir révélé des ventes en amélioration au troisième trimestre.
Les perspectives des marchés américains étaient également moroses: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.37%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.56% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.34%.
Les Etats-Unis devraient publier aujourd'hui leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, et l'institut de gestion des approvisionnements faire de même concernant le volume de l'activité des usines.