Investing.com - Les bourses européennes étaient sur la défensive ce lundi, l'atmosphère s'étant assombrie en raisondu renouveau des craintes au sujet de la croissance mondiale, suite à des résultats japonais décevants.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.26%, le CAC 40 français de 0.23%, et le DAX 30 allemand de 0.16%.
Le moral avait en effet fléchi après que des chiffres officiels aient montré ce matin que l'économie japonaise avait progressé de 0.3% d'avril à juin, soit la moitié des 0.6% espérés, contre 1.2% après révision à la hausse sur le premier trimestre, la demande extérieure ayant été malmenée par la crise de la dette de la zone euro.
Il avait déjà été révélé vendredi que les exportations chinoises avaient nettement plongé en juillet, et que les importations avaient aussi ralenti.
La monnaie unique demeurait toutefois soutenue par l'idée selon laquelle la Banque Centrale Européenne compterait bientôt mettre en place des mesures destinées à régler le problème du surendettement régional.
Parmi les proclamations, il était à noter que Solarworld, premier fabricant de panneaux solaire allemand, avait plongé de 5.36% après avoir aavoué estimer que ses revenus ded l'année devraient être plus bas qu'en 2011, déplorant aussi des pertes nettes de 161 millions d'euros pour le second trimestre.
Du côté suisse, gestionnaire de capitaux Julius Baer a dérapé de 3.53%, après avoir accepté de payer environ 860 millions de CHF pour la branche no-américaine de la Bank of America’s Merrill Lynch opérant dans le même domaine.
Mais le reste de la finance était en forme, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit en tête avec respectivement 1.56 et 1.1%.
Les français Société Générale et BNP Paribas n'étaient pas en reste, avec 0.45 et 0.5% d'amélioration, suivis de près par la Commerzbank germanique avec 0.51%.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a reculé de 0.27%, celles-ci se trouvant en berne.
Les cuivriers Xstrata et Kazakhmys ont ainsi dégringolé de 1.25 et 1.07%, les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton fondant respectivement de 0.75 et 0.79%.
Leurs rivaux Vedannta Resources et Antofagasta ont quand à eux sombré de 2.06 et 1.15%.
Toujours parmi les lanternes rouges, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American fondait de 1.07%, et son collègue BP de 0.18%.
Du côté de la City, Standard Chartered rebondissait de 1.53%, suite aux bruits selon lesquels la banque londonienne et les autorités financières américaines seraient en train de discuter du prix de l'abandon des poursuites découlant de leur enquête sur d'éventuelles transactions dissimulées avec l'Iran.
La Royal Bank of Scotland a pour sa part laissé échapper 0.9%, et HSBC Holdings 0.26%, imités par Lloyds Banking avec 0.22%, tandis que Barclays arrachait 0.11%.
David Walker, nouveau président de ce dernier, avait auparavant déclaré au journal britannique The Sunday Telegraph qu'il procèderait à un audit de fond en combre de l'établissement en difficulté, ajoutant n'être lié à aucune des manières de procéder de ses prédécesseurs.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.28%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.35% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.27%.
Aucun résultat économique majeur n'était attendu de la part du bloc euro ou des Etats-Unis, donc l'attention demeurait concentrée sur le volume des ventes et l'évolution des prix au détail, devant être révélés en cours de semaine.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.26%, le CAC 40 français de 0.23%, et le DAX 30 allemand de 0.16%.
Le moral avait en effet fléchi après que des chiffres officiels aient montré ce matin que l'économie japonaise avait progressé de 0.3% d'avril à juin, soit la moitié des 0.6% espérés, contre 1.2% après révision à la hausse sur le premier trimestre, la demande extérieure ayant été malmenée par la crise de la dette de la zone euro.
Il avait déjà été révélé vendredi que les exportations chinoises avaient nettement plongé en juillet, et que les importations avaient aussi ralenti.
La monnaie unique demeurait toutefois soutenue par l'idée selon laquelle la Banque Centrale Européenne compterait bientôt mettre en place des mesures destinées à régler le problème du surendettement régional.
Parmi les proclamations, il était à noter que Solarworld, premier fabricant de panneaux solaire allemand, avait plongé de 5.36% après avoir aavoué estimer que ses revenus ded l'année devraient être plus bas qu'en 2011, déplorant aussi des pertes nettes de 161 millions d'euros pour le second trimestre.
Du côté suisse, gestionnaire de capitaux Julius Baer a dérapé de 3.53%, après avoir accepté de payer environ 860 millions de CHF pour la branche no-américaine de la Bank of America’s Merrill Lynch opérant dans le même domaine.
Mais le reste de la finance était en forme, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit en tête avec respectivement 1.56 et 1.1%.
Les français Société Générale et BNP Paribas n'étaient pas en reste, avec 0.45 et 0.5% d'amélioration, suivis de près par la Commerzbank germanique avec 0.51%.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a reculé de 0.27%, celles-ci se trouvant en berne.
Les cuivriers Xstrata et Kazakhmys ont ainsi dégringolé de 1.25 et 1.07%, les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton fondant respectivement de 0.75 et 0.79%.
Leurs rivaux Vedannta Resources et Antofagasta ont quand à eux sombré de 2.06 et 1.15%.
Toujours parmi les lanternes rouges, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American fondait de 1.07%, et son collègue BP de 0.18%.
Du côté de la City, Standard Chartered rebondissait de 1.53%, suite aux bruits selon lesquels la banque londonienne et les autorités financières américaines seraient en train de discuter du prix de l'abandon des poursuites découlant de leur enquête sur d'éventuelles transactions dissimulées avec l'Iran.
La Royal Bank of Scotland a pour sa part laissé échapper 0.9%, et HSBC Holdings 0.26%, imités par Lloyds Banking avec 0.22%, tandis que Barclays arrachait 0.11%.
David Walker, nouveau président de ce dernier, avait auparavant déclaré au journal britannique The Sunday Telegraph qu'il procèderait à un audit de fond en combre de l'établissement en difficulté, ajoutant n'être lié à aucune des manières de procéder de ses prédécesseurs.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.28%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.35% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.27%.
Aucun résultat économique majeur n'était attendu de la part du bloc euro ou des Etats-Unis, donc l'attention demeurait concentrée sur le volume des ventes et l'évolution des prix au détail, devant être révélés en cours de semaine.